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ussie❧ you're fucking not her.

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1ussie❧ you're fucking not her. Empty ussie❧ you're fucking not her. Mar 30 Aoû - 16:28

Queen of everything

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« Ne crains pas la solitude lorsqu’elle croise ton chemin. Elle te donne l’occasion de te retrouver avec toi-même et de te fortifier. » Suis-je un homme seul ? Non. Suis-je un homme bien entouré ? Non plus. Qu’est ce que je suis alors ? Moi-même je ne trouve pas de réponse à cette question ridicule. J’ai changé d’air, j’ai essayé de changé de vie, et pourtant, je n’ai pas réussi à me changer. Qu’est ce que je dois faire pour ça ? Trouver ma nouvelle Demi ? Non. J’aimerais quelqu’un le jour où je me sentirais prêt pour ça, et non pas quand je me sentirais seul. Il est facile de se tenir avec la foule, mais il faut du courage pour rester seul. Peut-être oui. Seulement c’est pas ce qu’il y a de mieux pour moi, la solitude. Je ne suis pas un mec seul en vérité, j’ai juste cette manie de m’autodétruire comme font une bonne partie des gens seuls. Et peu importe qui est la personne assez folle pour me relever la tête, je ne peux m’empêcher de lui cracher au visage, comme si ses intentions étaient mauvaises. Je n’ai qu’une explication à tout ça, à tout ce paradoxe incessant : je suis un putain de connard bloqué dans son monde, que voulez-vous.

Ma présence, seul, dans le parc du campus ne s’explique que par le fait que je suis sorti prendre l’air quelques minutes. En effet on était en plein travail avec mon groupe d’étude, à étudier les lois de je ne sais encore quel formule mathématique. Je préfère oublier cette connerie quelques minutes, ou ma tête risque d’exploser. On a prit une pause, et je suis parti dans mon coin, envoyant boulé les quelques uns qui souhaitaient m’accompagner. Pour m’gratter des clopes ? Nan merci, trouvez vous un autre pigeon. Adossé contre un palmier, à fumer pour pas changer, j’ai une vue imprenable sur le reste du parc, sur les gens, sur le campus tout entier. C’est un moment paisible, mais légèrement emmerdant. Je ne cherche même plus à me satisfaire de toute façon, plus rien ne le peut. La fumé que je relâche s’évapore dans l’air. Après plusieurs secondes, mon regard tombe sur une femme que je reconnaîtrais entre mille. Kassie Faye Harris. Je perds mes moyens dès que je l’a vois. Et je l’a déteste pour ça. Je la déteste pour me faire penser à elle chaque fois que mes yeux se posent sur son visage, sur ses formes. Je l’a déteste chaque fois que j’entends le son de sa voix. Et pourtant je suis terriblement attiré par elle. Je dois surement être pire avec cette fille qu’avec d’autres gens de ma liste noire. La pauvre n’a jamais eu d’explication à tout ça. Et elle n’en aura surement jamais. Les sourcils froncés, le regard vide, la fumé qui sort d’entre mes lèvres, je l’a fixe sans m’arrêter. Pourquoi ? Parce qu’elle fait de même. Je l’a regarde se rapprocher, sans même changer une seule expression dépité de mon visage. Je regarde ses cheveux flottés au vent, ses courbes, son visage. Tout. « Y’a rien à voir. » Ma voix, presque mauvaise, perce jusqu’à l’atteindre, elle qui n’est plus si loin de moi. C’était sec, direct, et tellement naturel. J’aimerais me montrer aussi doux que je le suis en vérité, mais il y’a des naturelles plus forts que d’autres.

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Juste une pause. Tu avais besoin d’une pause. Seulement pour arrêter d’entendre les piaillements des autres filles dans ton cours. Bah… c’est toi qui avait voulu de ce cursus typiquement féminin. Il fallait bien s’attendre à ce que tu en côtoies à un moment. Oui, c’est bon! D’habitude, tu survis au cours et tu sors vivre ta vie comme tu l’entends, et toujours en bonne compagnie -majoritairement masculine-, mais aujourd’hui, tu es fatiguée. T’as pas envie d’être là et toutes ces petites pouffiasses t’énervent plus que nécessaire. Alors, ta pause tu la mérites amplement. Raison particulière pour cette lassitude soudaine? Oui, non… Accumulation faut croire. Et tu es prise à la fac avec une journée de cours chargée. Allez, plus que quelques heures Kassie! Si tu n’avais pas pris tout ce retard aussi… Bah c’est que tu avais été pas mal occupé ces derniers temps. Avoue plutôt que tu avais été lâche et que tu avais repoussé tous tes travaux à plus tard… Voilà, la vraie raison!

Et tu es là, dans le parc universitaire, assise sur un banc, le visage entre les mains, coudes appuyés contre tes genoux. Grande inspiration. Déjà, être dehors, au soleil, c’est déjà mieux. Tu peux faire le vide, oublier ces petits ricanement de gamine qui parle de mecs à n’en plus finir et qui clame Ô combien c’est génial d’être riche et bla bla bla… C'est insensé comment tu te rends compte que depuis ton retour d’Australie, ta vie à Miami n’est pas ce qui est le plus représentatif de ta personne. Comme tout le luxe dans lequel tu vis ne t’ai pas indispensable et comment les petites histoires de couples et de coucheries, tu t’en fous. En fait, tu te fous des autres, point. Oui, oui tu te fous de tout le monde… Excepté, peut-être, lui. Tu as relevé la tête et tes yeux se sont immédiatement posés sur le jeune homme au loin, Ugo. Un sourire apparait instantanément sur tes lèvres. Pourquoi? Peut-être parce que tu es un peu sadique et que tu aimes l’effet que tu crées chez l’Espagnol. T’aimes le voir te repousser, mais te dévorer des yeux. C’est si flagrant, que c’est à n’y rien comprendre et c’est probablement ça qui t’attire le plus. Tu veux comprendre, comprendre le phénomène Ugo. Tu veux percer ce mystère, parce que rien ne peut te résister à toi. Tu le fixes, il te fixe, et pourtant les airs qui se retrouvent sur vos visages sont totalement à l’opposé. Tu as ton sourire provocateur, amusé, alors que lui, il te dévisage. Tu te lèves, tu t’approches -le contraire aurait été impossible. Tu vas t’amuser, tu le sens. On dit adieu aux gamines de ton cours et bonjour les montagnes russes. Et tu laisses échapper un rire d’entre tes lèvres lorsqu’il s’adresse à toi. Tu prends directement la clope d’entre ses doigts, sans gêne. Tu aspires et tu expires la fumée, tu souris. « Tu parles pour moi ou pour toi? Parce que, personnellement, ce que je vois est plutôt plaisant. » Son physique ou son attitude? Les deux. Totalement, les deux. « Allez, avoue que tu es content de me voir! » C’est beau l’ironie!

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Je n’pourrais jamais expliquer la façon dont je me comporte avec elle. Que ce soit vis-à-vis d’elle ou des autres en vérité. Peu importe quand, peu importe avec qui, il faut toujours qu’à un moment ou a un autre j’agisse mal. Du moins c’est l’impression que j’en ai, mais il est fortement possible que je dramatise mon comportement. Et pourtant. Si une chose reste certaine, c’est que je n’ai jamais été des plus tendres avec Kassie. Disons que ça dépend des jours. Notre relation est basé sur des montagnes russes ; chaque jour on arrive à une nouvelle colline différente des précédentes, une colline soit destructrice, soit séductrice, soit avenante, soit taquine. Je vous jure que rien qu’à nous deux, on a réussi à créer une nouvelle chaîne de montagne. Aujourd’hui visiblement, ce n’est pas le mont du grand amour qu’on a gravit. Aujourd’hui, elle est bien la dernière personne que je voulais voir. Elle est terriblement belle, et bien que ce soit un plaisir pour les yeux, il se trame en moi quelque chose d’inhabituel ; je suis mal à l’aise. Mais jamais ne je le laisserais paraître. De toute façon ça m’est égal au finale. Elle est là, et même si j’ai une envie folle qu’elle se casse, je sens que sa présence n’est pas que provisoire. Je vais devoir me rendre à l’évidence. Elle a rie, elle a prit la clope d’entre mes doigts et à tirer une fois. Madame est sans gêne ? J’aime ça. Elle semble d’humeur taquine et séductrice, et disons que je n’ai pas la tête à ça aujourd’hui. Mais je pense que pour une fois, contempler une chose sous ses bons angles ça ne me ferait pas trop de mal. J’ai même le droit à un compliment. Tu vas vraiment l’envoyer bouler Ugo ? Non pas cette fois. Ou du moins pas tout d’suite. Je réserve ça à plus tard. Les sourcils légèrement froncés, je ne laisse apparaître aucun sourire sur mes lèvres, et je ne l’a lâche pas du regard. J’ai ce naturel regard sombre et ténébreux intimidant.

Puis c’est plus fort que moi maintenant, sa remarque m’a fait sourire en coin. Un rire désespéré exprimer par une expiration forte de mes narines. Je baisse ensuite mes yeux jusqu’à sa main qui tient toujours ma cigarette entre ses doigts, tout en répondant aussi froidement que tout à l’heure. « Y’a même pas d’mot pour décrire à quel point ça m’saoul de t’voir. » Dis-je alors en tendant ma main vers la sienne. Le bout de mes doigts frôlent les siens plusieurs petites secondes afin de maintenir la clope entre mes doigts et de l’a lui retirer avec douceur. J’aurais pu y aller violement, mais la colline séduction et taquinerie est éclairer cette après-midi. Puis je l’embouche et aspire toute la fumée possible avant de lever le visage vers le ciel et de l’a relâché ensuite dans les aires. Je suis encore sympa, j’ai évité de lui aspergé la gueule, bien que ça ne m’aurait pas déranger. Une fois après avoir remmené mon visage face au sien, je continue sans beaucoup plus d’amour propre. « Qu’est ce que tes jolies courbes viennent faire là ? T’as trouvé personne d’autre à v'nir emmerder ? » Je sourie taquinement et méchamment en coin. Je vous l’ai dis, avec cette fille je ne sais plus comment me comporter. On est comme titi et gros minet dans un monde parallèle ou rien n’a ni queue ni tête.

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Alors, aujourd’hui, il n’est pas d’humeur. Ça allait être plaisant d’être en sa compagnie, franchement! Son accueil, il est glacial. Il ne veut pas te voir, t’avoir à ses côtés et il te le fait très bien comprendre par ces quelques mots dits sur un ton cassant. Et pourtant, malgré cette attitude agaçante, tu n’as pas envie de t’éloigner, tu n’as pas envie de seulement l’envoyer se faire voir parce qu’il te parle comme cela. Non, tu n’agissais pas avec lui comme tu agissais avec tous les autres. Quoi que… Tu agissais tout de même comme tu agissais toujours. C’est-à-dire, tu veux absolument obtenir ce que tu ne peux pas avoir et lui, tu ne pouvais pas l’avoir facilement. Pourquoi? Parce qu’une fois sur deux, quand tu le vois, il est tout simplement horrible. Alors pourquoi t’accroches-tu? Sûrement parce qu’il t’intriguait. Voilà, c’était exactement ça. Il t’intriguait parce qu’il n’agissait jamais de la même façon avec toi. C’était contradictoire, totalement paradoxal. Il pouvait dire ce qu’il voulait, son regard le trahissait et ça en permanence. Il avait beau être froid, il y avait quelque chose dans son regard qui scintillait quand il te voyait. Puis, faut dire, qu’il y a des jours où il est sympa, même, qu’il est séducteur. Alors, oui, tu n’avais pas d’autre choix que de t’approcher de lui et de le déranger dans ce qui devait être, pour lui aussi, une pause de ses cours.

« C’est tellement d’amour que tu me donnes là, je crois bien être émue! » Et tu continues sur le chemin de la provocation. Il a beau t’intriguer, tu n’allais pas te laisser parler comme cela. Et même si ta réplique se veut cinglante, tu as un large sourire sur tes lèvres, un sourire narquois qui le fait comprendre que tu es toujours aussi ironique. Tu le laisses reprendre sa cigarette et la fumer. Tu l’observes un instant. Faut bien l’avouer, il est séduisant. Il te plait visuellement parlant. Et ajoutez à cela cette attitude de connard que tu aimes bien, et vous obtenez un mélange parfait de ce qui te fait craquer. Tu croises les bras sous ta poitrine, tu te mords légèrement la lèvre inférieure. « J'avais besoin de prendre l'air, les pouffiasses de mon cours m'énervaient un peu trop. Puis, je t'ai vu et tu sais bien que tu es ma victime préférée. Ce n’est pas aussi drôle avec les autres, je n’ai aucun défi, s’ils ne me répondent pas comme tu le fais. » Il avait bien qu’avec l’Espagnol que tu pouvais draguer alors qu’il ne voulait clairement pas t’avoir avec lui. Allez, c’est surtout pour t’amuser! Puis, ce petit sourire qu’il a au coin des lèvres t’encourage à poursuivre dans cette voie. Tu t’approches quelque peu de lui, tu entres dans sa bulle, totalement. Tu as ton regard de lié au sien, tu ne le lâches pas, et tu continues de sourire. « Et je peux savoir pourquoi j’ai droit à cette attitude-là aujourd’hui ou tu préfères encore te cacher derrière cette image de mec mystérieux? » Vas-y Ugo, avoue donc pourquoi tu t’es pas capable de me sentir! Décidément, ta curiosité te perdra!

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J’aimerais comprendre. J’aimerais savoir pourquoi j’attire cette fille comme une abeille sur un pot d’miel. Si elle ne me poussait pas à bout comme elle le fait, je ne serais pas aussi désagréable. Du moins c’est ce que j’essaie de me faire croire. Je ne me suis jamais comporter sagement avec elle, même dans ses plus beaux jours. Alors finalement, il est possible que ce soit mon comportement de connard retissant qu’il l’est forcé à agir de la sorte. Kassie est une joueuse, une maligne taquine et séductrice. Bien sure qu’elle n’allait pas abandonner une victime aussi parfaite que moi. Seulement il n’est pas question que je me donne à qui que ce soit le statut de victime. Elle est autant ma tête de turque que je ne suis la sienne. En plus de ça, cette fille peut certainement avoir absolument qui elle veut, et bien qu’elle m’attire au plus haut point, il n’est pas question que je me laisse tenter. De toute façon, ça serait trop douloureux. Seulement ce tond ironique qu’elle emploie me pousse à agir avec taquinerie et séduction. La clope toujours entre mes doigts, je l’observe croiser les bras juste en dessous de sa poitrine, une position qui a le chic de remonter ses formes vers le haut. J’évite de me perdre dans son riche décolleté et repose mon regard dans le sien. Elle me parle des poufiasses de son cours. C’est marrant, parce que c’est avec ce nom là que je l’aurais qualifié. « Les autres sont hypocrites. Je suis pas d’ce genre là. » Il faut dire ce qui est. Le monde est remplit d’humains plus cons les uns que les autres, des gens tous aussi faux cul que deux nana se complimentant mutuellement. C’est du baratin, c’est tout ce que c’est. Je préfère être direct plutôt que de poignarder quelqu’un dans le dos. Y’a rien de plus horrible à mes yeux. Alors oui, penser aux autres connards du monde me fait dédramatiser la situation dans laquelle je me noie. Et au finale j'me dis que je suis pas si mal.

Puis elle se rapproche. Je suis toujours adossé contre l’arbre. Le fait d’être coincé entre elle et l’écorce, c’est plus oppressant qu’autre chose. J’ai envie de me barrer. Techniquement ça serait plutôt à elle de faire demi-tour, mais l’a connaissant, ça ne fait pas partie de ses priorités. Elle ne lâche pas mon regard naturellement perçant, et forcément, je fais de même. Je ne baisserais pas les yeux. Je ne baisse jamais les yeux. Elle parle du mec mystérieux que je suis, voilà une chose que je qualifie comme l’un de mes points forts. Les gens ne me jugent pas ouvertement, de peur de ne pas me connaître suffisamment pour ça. Et c’est vrai, je suis loin d’être un mec simple à connaître, un mec qui étale sa vie et ses passions aux autres, tout simplement parce que moi j’en ai rien à foutre des autres. Il n’y en a qu’une qui me connaissait par cœur, mieux que je ne me connais moi-même. ‘Pas besoin de vous donner son nom, vous l’aurez deviné. Elle aurait d’ailleurs agit de la même manière que Kassie en ce moment, avec tout de même un air un peu moins salope au visage. Elle était beaucoup de chose, mais ça, c’est tout ce qu’elle n’était pas. Son regard se lie au mien, et en remarquant du coin de l’œil qu’elle sourit toujours, je sourie à mon tour. Mes lèvres s’étirent en un sourire en coin presque invisible. Il faut être à son niveau pour avoir une chance de le constater. En vérité je nous trouve terriblement pathétiques. J’aimerais vous dire que c’est elle la pire dans cette histoire, mais je crois bien que c’est moi. Non. C’est elle qui est pathétique. Je me détache enfin de l’arbre et m’avance vers elle de quelques centimètres, sans même briser le lien de nos regards. Je n’ai jamais eu mon visage aussi proche du sien, et pourtant nous n’en sommes pas encore à ressentir le souffle de l’un contre l’autre. Et j’espère que jamais ça n’arrivera, autrement je serais tombé bien bas. Mais la colline est taquine et séductrice aujourd’hui n’est ce pas ? Autant profiter de son agréable parfum qui recouvre l’odeur des fumés de tabac. « Tu t’mêle de choses qui t’regardent pas Harris. » Pour la première fois depuis plusieurs minutes, j’ai abandonné le côté sec méchant pour adopter une attitude toujours aussi sèche, mais légèrement taquine cette fois. « Alors à moins d’être venu pour venter ce qui t’attire le plus chez moi, j’te demanderais de rejoindre ta bande de pouffiasse. J’ai pas pris une pause pour avoir à supporter ta langue de vipère. » Dis-je alors en étirant de plus en plus mon sourire en coin. J’ai pensé chacun des mots que j’ai dis, et ça m’a fait terriblement plaisir de les lui avoir décernés. Ce qui l’attire le plus chez moi ? Mon côté mystérieux, celui qui l’a rend plus curieuse que jamais à mon égard. Est-ce que j’ai vraiment envie qu’elle parte ? Oui et non. Je ne peux pas supporter sa présence, et pourtant cette proximité ne me déplaît pas. Mais j'aimerais juste mieux en finir.

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Est-ce qu’il t’intéresse vraiment? Franchement, qu’est-ce qui te pousse à t’accrocher à quelqu’un qui, visiblement, serait probablement mieux si ta présence n’était pas près de lui? C’est une question pour laquelle tu n’as, toi-même, aucune réponse. Certes, il est charmant, séduisant, et quand il se montre sympa avec toi, il l’est d’autant plus. Sauf qu’il n’est que très rarement sympa avec toi. Est-ce que son physique suffisait à te faire persévérer à lui parler? Non, bien sûr que non! Il y avait un petit plus. Un petit plus sur lequel il était difficile de mettre un mot. S’il était changeant avec toi, tu avais développé cette même relation avec lui. Plus il te repoussait, plus tu t’approchais, tu le cherchais, tu le provoquais. Plus il s’approchait, plus tu… Ouais, non, tu t’approchais encore plus! Tu veux comprendre l’énigme. Celle qui se cache dans ses yeux, celle qui se cache derrière ses mots. Et, putain, ça te rend folle! Tu veux comprendre. Cependant, il ne te rend pas la tâche simple. Il ne parle que très peu et quand il le fait ce n’est certainement pas de lui. Il laisse planer le mystère et c’est devenu un jeu que de tenter de le découvrir. Tu as le regard perçant. Tu l’observes, tu le scrutes. Ton sourire s’élargit lorsque tu perçois son regard dévier vers ta poitrine. Oh, pas longtemps! Juste assez pour le percevoir et, instinctivement, tu ressers l’étreinte de tes bras sous ton buste. Il peut bien mater, ça ne fait qu’ajouter à toutes les choses qu’il fait de contradictoire. « Non, t’es pas hypocrite. T’es seulement instable dans tes opinions. Ou c’est seulement avec moi ça? » Question légitime. Tu ne lâcheras pas. Tu allais bien finir par lui faire dire quelque chose qui t’expliquerait son attitude, qui te ferait comprendre cette attraction pour lui et cette révulsion de toi.

« Je me mêle de choses qui ne me regarde pas? Je dois te rappeler qu’on parle de toi et ton attitude face à moi. Alors, je crois, qu’en quelque part, ça me regarde. » Tu approches d’un autre pas. Tu rétrécis la distance qui se trouve entre vous. Tu peux sentir son parfum qui se mélange à l’odeur de sa cigarette. Tu as ancré ton regard dans le sien. Un regard empli de provocation et de défi. Tu veux le pousser à bout. Peut-être qu’en allant plus loin, trop loin, il réagirait, qu'il parlerait un peu plus. Sauf que tu ne le connais pas. Tu ne peux pas prédire comment il va réagir et si tu sais bien quelque chose de lui, c’est que ses réactions sont totalement imprévisible… Ce qui ne t’empêche pas de faire un pas de plus, de nouveau. Tu es près, très près de lui. Quelques centimètres, à peine. Tu as toujours ton regard dans le sien. Tu laisses un silence ce glisser entre vous, tu laisses monter la tension. Tu as ce sourire narquois aux lèvres. « Et pourtant, tu ne sais pas de quoi elle est capable cette langue vipère. Tu serais surpris de savoir à quel point elle peut être d'agréable compagnie. » L'ambiguïté des propos? Totalement voulue. Tu passes volontairement ta langue sur tes propres lèvres. Une de tes mains descendra le long de son bras pour atteindre sa main. Tes doigts attrapèrent la cigarette toujours nicher entre ses doigts. Tu te recules finalement, instaurant une distance sécuritaire entre vous deux. Tu viens porter le tube de nicotine à ta bouche. Tu aspires, tu expires. Tu évites habilement son visage. Tu souris toujours autant. « Non, c’est vrai tu as raison, je devrais te laisser tranquille. Je ne voudrais absolument pas te déranger et briser cette image de mec trop bien pour le reste de la population. Ah et ça… » Tu soulèves la clope dans les airs, la désignant à Ugo. « Je l’apporte avec moi! Bonne journée Ugo! » Petit clin d'oeil. Tu tournes les talons, tu fais demi-tour, tu vas retourner sur ton banc, même si… Même si tu espères fortement que ton petit numéro a fonctionné, qu’il va te suivre ou limite, que ça l’aille assez énervé pour qu’il ne puisse retenir l’envie de vouloir te faire pire. Masochiste? Un peu… Quand ça vaut réellement la peine!

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Elle enchaîne les coups doubles. Elle se plein maintenant de mon comportement auprès d’elle, chose à laquelle je n’arrête pas de penser. Je me demande constamment pourquoi j’agis de la sorte, sans même trouver de réponse. Et voilà qu’elle me le fait remarquer. Au lieu de bêtement reposer sur la table une question sans réponse, j’aurais aimé l’avoir cette réponse. En fait c’est à moi et à moi seul que revient la faute, et pourtant, je ne fais rien pour changer. Flemmardise ? Manque de motivation et d’envie ? Ma vie est un putain de mystère. Je suis un putain de mystère ! Peut-être que si je parlais un peu plus de moi, je réussirais à y voir plus clair. Mais ça ne vaut pas le coup d’essayer. Kassie se rapproche de moi. On est encore plus proche qu’on ne l’était déjà. A quoi elle joue ? A quoi je joue ? Tout est si instantané en vérité de mon côté. Par contre elle, elle me cherche, et si m’activer les nerfs c’est ce qu’elle veut, alors elle risque de me trouver bien plus vite qu’elle ne le pense. Je ne suis pas du genre à marcher sur des œufs, à attendre patiemment que les choses se tassent. Non. Je suis directe, et passer par quatre chemin ne fait pas partie de mes habitudes, c’est une perte de temps totale. « Oh, j’crois qu’y en a une que j’perturbe..» Dis-je sous un ton ironique et provocant. Je reproche clairement sa manie soudaine à me reprocher mon comportement vis-à-vis d’elle. A croire que ça l’a gêne et qu’elle aimerait une explication. Depuis quand je dois me justifier ? Par la suite, je n’ai pas eu le temps de répondre quoi que ce soit, que je sens sa main glisser le long de mon bras et ses doigts saisir la clope entre les miens. Encore une fois. La proximité qu’on avait mutuellement crées était déjà lourde et je n’avais pas besoin d’une tension devenu palpable. Pourtant j’ai adoré le contact. Mais je l’ai détesté aussi ! Quand enfin elle prend ses distances, et ne quitte pas ce sourire narquois, elle embouche ma clope et clairement, elle me provoque. Ses mots, ce ton qu’elle a employé, veulent clairement dire qu’elle attend que je l’a suive. En temps normale je ne répondrais pas à la provocation, mais là la situation est amusante, et j’ai bien l’intention de récupérer ce qui m’appartient. Son tour de passe-passe m’énerve autant qu’il m’amuse. Mon sourire en coin persiste, mon regard quand à lui se noircit. Je secoue lentement la tête de gauche à droite, désespéré par la demoiselle. Mais je finis par marcher sur ses pas. Bravo, elle a réussi ! Je ressens presque un manque quand à l’idée de ne plus sentir ma cigarette entre mes doigts. En chemin jusqu’au banc, je passe à côte d’une charmante jeune fille à qui je jette un sourire séducteur. Je l’a fixe ténébreusement. Elle me regarde tout sourire, et j’en profite alors pour…abuser ? « Tu aurais une clope par hasard ? » lui demande-je gentiment. Comme à mon attente, elle me tend une cigarette que j’ai bien l’intention de garder cette fois, et que je commence tout de suite par déposer entre mes deux lèvres. Je l’a remercie, toujours aussi brièvement, avant de me rapprocher de Kassie, les sourcils froncés. Je termine ma course en m’asseyant sur le dos du banc, le truc contre lequel on est censé s’adosser et non pas s’asseoir. Mais il faut jamais que je face comme tout le monde. Aucun mot n’est sorti de ma bouche depuis que je l’ai rejoins. De simples regards ont suffit à tout exprimer ; un désespoir profond, une attirance, de la confusion.. D’une main je sors mon briquet de ma poche tandis que de l’autre j’entoure la cigarette pincé entre mes lèvres comme coupe vent. La chose fut simple et rapide. Je respire toute la fumée possible que je relâche dans les airs avant de déclarer, enfin. « Prouve-moi qu'la vipère n’est pas de mauvaise compagnie. » J’aurais pu rester adossé à l’arbre, l’insulter de tous les noms, ou encore lui briser les os, ça n’aurait jamais été aussi amusant que l’a façon dont j’ai réagis actuellement. Si je veux éviter de me montrer odieux avec elle sans aucune raison, autant commencé tout de suite. Et puis, elle m’intrigue, elle qui lui ressemble tant. Par contre, un seul mot de travers, et je ne donne pas cher de sa peau. Je fais déjà des efforts considérables.

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S’il te perturbe? Mais il croit quoi, celui-là? Que son attitude est normale? Que c’est bien, que tout le monde le vit bien? Alors, lui, si une fille débarquait comme cela, sans jamais l’avoir vu ou lui avoir parler auparavant et qu’elle avait cette attitude totalement détestable envers lui, mais le regard emplie d’envie, il comprendrait, il ne se poserait pas de question? Eh, bien, vous êtes encore plus différents que tu ne le pensais… Ou peut-être que, justement, vous vous ressembliez plus que tu ne pouvais le penser, mais ça, pour le moment, tu ne peux pas le savoir. Parce que tu ne sais totalement rien de lui! AH! Et c’est là qu’on revient à ce point crucial de votre relation. Vous ne vous connaissez pas du tout! Vous êtes deux putains d’étrangers qui se cherchent, se provoquent, se courent après, se repoussent, se dégoûtent. Vous êtes semblables, différents, paradoxales, complémentaires. Vous êtes tout et rien à la fois. Alors, oui, ça perturbe, Monsieur Je-vis-bien-dans-mon-mystère! Et tu allais lui montrer et lui dévoiler ton trouble? Certainement, sans honte, mais avec Ô combien de provocation et d’arrogance -comme toi seule sait si bien le faire. « Ma perturbation ne sera jamais aussi intense que les effets contradictoires que je peux créer chez toi. Je ne peux même pas imaginer ce que tu vis, mon pauvre! » Petit clin d’oeil pour accompagner tout ça. Allez! Tu veux bien avouer qu’il te perturbe, mais fallait bien lui mettre sous le nez qu’il avait tout autant de choses à se reprocher. Il est à la base même de cette complication relationnelle. Sa faute, mais tu l’encourages! Tu joues tout aussi bien que lui. Tu en profites, tu abuses.

Et voilà que tu fais ton numéro, que tu te déhanches jusqu’à ce banc après l’avoir provoqué pour qu’il te suive. Et ça a fonctionné! Plus que tu ne l’aurais imaginé, mieux que tu ne l’avais pensé! Et le sourire triomphant sur tes lèvres en est la preuve. Il s’étire largement, prenant toute la place sur ton visage. Quoi qu’il ne faut pas non plus oublié ton regard flamboyant, empli d’une fierté aucunement dissimulée. Tu le regardes s’approcher de toi et tu l’aperçois ouvertement draguer du regard et du sourire cette fille qui passait par là. Tu laisses échapper une exclamation d’entre tes lèvres, rapidement suivie par un rire franc. Il ne manque pas de culot, celui-ci et en même temps, tu aimes ça! Enfin, juste un peu… Tu continues de tirer sur la cigarette volée, à travers le sourire amusé qui est toujours sur ton visage. Tu attends qu’il revienne à toi et qu’il s’installe confortablement sur le banc. « Tu aurais pu la suivre celle-là, elle n’était pas mal! J’aurais pas pensé que tu aimais bien les brunes aussi. J’ai toujours pensé que tu avais une petite préférence pour les blondes. Une intuition, comme ça! » Tu parles de la fameuse fille qu’il avait croisé en route. Jalouse? Non, du tout! Pourquoi tu serais jalouse d’une fille qui a su charmé le mec que tu connais à peine, qui est pire qu’un bipolaire avec ta personne? Ouais, justement parce que toi, tu ne réussis pas, même si tu mettais des efforts. En fait, tu en mets plus du tout d’efforts. Tu veux seulement atteindre ce but ridicule que tu t’étais fixé, décoder le mystère. Pas simple. Pas impossible non plus, faut pas croire! Tu ne le regardes même pas en fait. Tu parles en fixant un point devant toi. Tu gardes pourtant ton sourire aux lèvres. Tu continues de fumer en toute tranquillité quand tu entends ces derniers mots. Et ton sourire s’élargit davantage. Un nouveau pas vers la victoire? Il semblerait! Tu ris, toujours de ton rire franc et tu tournes la tête vers lui. Tu as l’imagination qui s’active, les idées qui défilent. Tu termines la cigarette, tu balances ce qu’il en reste un peu plus loin. Tu te lèves et te positionnes devant lui. Tu t’approches, tu es plus que confiante, totalement en contrôle de la situation et tu aimes ça! Tu adores ça! Tu as ta tête qui s’approche de son oreille. « Tu ne le regretteras pas, c’est une promesse. » Tu te recules alors et tu t’éloignes du banc. Tu marches en direction de la sortie du parc. « Allez, suis-moi! On aura aucun plaisir si on reste ici! »

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Elle essaie de détourner la conversation d’elle, de cacher sa perturbation. Elle me montre qu’elle sait. Elle sait qu’il se passe des choses à l’intérieur de moi-même lorsque je suis avec elle. Avec mes constants changements d’humeur, mes insultes, mes sourires, mes coups d’têtes.. Elle sait que je suis dans un cercle contradictoire lorsqu’elle est avec moi. En vérité j’adore la regarder, mais je déteste l’a voir. J’adore ses souris et son regard, mais je déteste lui parler. Je déteste tout ce qui me fait penser à l’être cher que j’ai perdu. Face à ce genre de choses je suis constamment perdu entre la haine, la tristesse, le regret, la joie et l’illusion. Tout s’oppose. C’est limite si je ne me sens plus humain. Alors comprenez mon comportement vis-à-vis de cette fille qui lui ressemble, cette fille à la fois ignoble, terriblement sexy, capricieuse et énervante. « Ouais, n’imagine pas. » Voilà tout ce que je lui ai répondu. Elle n’a pas à savoir, elle n’a pas besoin de savoir. Et elle ne saura jamais.

Je l’ai bêtement suivi, à contre cœur. Mais je n’allais certainement pas l’a laissé se barrer avec ma clope sans rien dire. C’est aussi complètement idiot de ma part, puisque je lui donne raison, et à la fois je lui donne une raison de continuer à me parler. Mais elle m’a cherché. Avec ses regards, ses approches, ses clins d’œil, cette séduction constamment présente entre nous, elle m’a cherché. Et qui me cherche me trouve, peu importe dans quel contexte. J’aurais adoré l’a laissé s’éloigner avec l’espoir que je l’a suive puis lui envoyer un fuck en retour avant de me barrer. Ca aurait été drôle et sincère, mais tellement puérile. Je dois lui laisser une chance. Et c’est ce que je fais en lui adressant ses mots. Qu’elle me prouve ce qu’elle vaut. Mais avant ça, je dois souligner sa remarque sur les blondes. Dois-je conclure à une pointe de jalousie ? Un rire soufflé s’échappe de mes narines, je baisse les yeux. « J’préfère les blondes. Mais j’avais encore moins de raison de la suivre elle que toi. » En effet, je n’avais aucune raison de suivre l’autre brune, comme je n’ai aucune raison de rester avec cette blonde-ci. C’est qu’une question de feeling du moment. Je sens que les choses doivent se dérouler comme ça, et c’est tout. A m’entendre, on penserait que je me fiche totalement de Kassie, qu’elle pourrait crever sous mes yeux que je ne bougerais pas le petit doigt. Et pourtant c’est faux. J’ai juste du mal à nous cerner.

Alors voilà, je lui donne une chance de me dire ce qui peut bien pouvoir me plaire chez elle. Mais la façon dont elle a comprise la chose est bien différente de celle dont je l’avais avancé. Je pensais à de simples mots, elle à tout de suite penser à une compagnie constante. Elle semble enthousiasme et confiante, alors je me dis, pourquoi pas ? Elle se lève et s’approche de moi. Sa voix sonne à mon oreille, et son souffle non loin de mon cou, me donnent un sentiment étrange. Cette femme est une putain de séductrice. Mais sait-elle que je le suis en retour, et qu’en plus de ça je suis sans gêne ? Si non, elle le saura bien tôt. Je lève alors les yeux vers elle, un regard plissé mais charmeur. « Laisse-moi juger par moi-même Harris. » Elle se déplace alors en direction de la sortie du parc. J’ai même trouvé ses mots particulièrement ambigus. Je l’a laisse faire quelques pas, seul, tandis que je suis toujours assied sur le dos du banc, à tirer sur ma cigarette à peine entamé. Je pense. Je cherche un moyen de me motiver, de ne pas l’insulter à chaque pas que je ferais. Je me vide l’esprit, je laisse le bon Ugo dominer le mauvais. Après quelques secondes de regard dans le vide, je descends du banc et marche sur ses traces. Elle est devant, ce qui signifie que j’ai une superbe vue sur ses fesses. J’observe son déhanché, ses courbes, et ça m’est complètement égale qu’elle l’est remarquer. Le but présent est de prouver que Kassie est de bonne compagnie, pas moi. Je sourie en coin, charmé par ses courbes avant de déclarer avec taquinerie. « Joli cul ! » A peine ai-je prononcé ses mots sans-gêne, que nous quittons le parc. J’en oublie les cours, qui je crois, devront reprendre sans moi. Le campus n’est pas très peuplé, il y a des gens qui respectent encore les horaires de cours. En vérité c’est Kassie qui mène la cadence en ce moment-même, et ça me déplaît. J’arrive enfin à son niveau et marche à ses côtés. Ma bouche se libère des fumés étouffantes avant de déclarer « J’peux savoir où miss recherche de plaisir m’emmène ? » Ce n'était ni désagréable, ni agréable. C'était dans l'interrogation et le peu de désespoir dont je suis pris. Si ça se trouve elle ne sait même pas où elle va. Pour une demoiselle qui insiste pour être suivit, ça serait un point en moins.

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Le déstabiliser. Toujours. C’était le mot d’ordre. Rien d’autre au programme. Tu le veux déstabilisé, en perte de contrôle devant toi. Oh! Faut pas s’y méprendre. Tu ne le veux pas complètement perdu, ne plus savoir quoi te dire, perdre de cette belle assurance et arrogance qui te plait tant. Non, du tout. Tu veux seulement encore voir son regard se perdre sur toi, se battant pour savoir quelle émotion il doit réellement exprimer. Et ça, tu adores encore plus. Son corps parle, sa bouche aussi -pas beaucoup, c’est vrai, mais!- mais ses yeux, c’est pire… Ils parlent tellement, ils se contredisent, ils changent. Ils s’illuminent et ils s’éteignent. Seulement, ils sont toujours sur toi. Ils te suivent, comme il t’a suivi jusqu’à ce banc. Et tu as ton sourire qui ne peut pas rester caché à ce spectacle. Tu l’as eu, non? Tu as réussi à le faire craquer, n’est-ce pas? Un peu, tout de même? Et même si ce n’était pas ça, en fait, tu t’en fous! Tu vas en jouer, tu vas en profiter! Tu vas tourner tout cela à ton avantage car c’est bien la seule chose que tu voulais. Ça et voir jusqu’où il allait te suivre, parce que tu n’allais pas te contenter de ce fichu banc, bien sûr que non et il allait rapidement le comprendre. Tu l’avais avec toi, tu allais le garder un peu, pour t’amuser et pour tout ce que ce mot pouvait impliquer.

Et pourquoi sortir de ce parc? Pourquoi ne pas seulement rester là et prouver, à ta façon, qu’il ne regretterait pas d’être plus sympa avec toi? Tu aurais pu continuer à jouer de tes mots, de ta séduction, de ces touchés furtifs mais totalement calculer pour le faire craquer un peu plus. Tu aurais pu… Mais ça n’aurait pas été digne de toi. Ça n’aurait pas été toi, tout court. Tu as besoin de bouger. Et puis, si ça pouvait aussi te dispenser d’être dans ce cours totalement ennuyant et d’assister une heure de plus au piaillements des pouffiasses, pourquoi pas? Tu étais gagnante sur toute la ligne. « Je te laisserai juger, mais crois-moi, je vais faire en sorte que le verdict soit positif! » Et c’est toujours aussi étonnant que tu t’accroches comme cela. Tu aurais été la première à vouloir laisser tomber et crier « Au suivant! » après ce certain nombre de refus. Mais c’est Ugo! Ce putain de mystère! Et tu n’aimes pas qu’on te résiste. Tu n’aimes pas perdre. Et cette victoire serait d’autant plus important si tu l’obtenais! C’est pourquoi tu sors du terrain de l’université. Tu diriges vers les rues de la ville. Tu ne regardes même pas derrière toi. Tu sais qu’il te suit. Tu peux ressentir sa présence non loin de toi. Tu peux sentir son regard sur ta peau, sur… Ah, ouais! Il ne se gêne pas le Ugo! Et ça te fait rire, même que tu accentues tes mouvements de hanches après ces deux petits mots innocents -si on veut! « Pas mal non? Allez, matte bien! Et si tu es gentil, je te laisserai peut-être toucher! » Ah oui, vraiment? Bah… Qui sait? Après tout, votre moment à deux ne venait que de commencer! Personne ne sait ce que le futur vous réserve! On se souvient le mot d’ordre? Déstabiliser. Voilà. Et tu n’arrêtes même pas ta marche en lui parlant. Il vient rapidement te rejoindre. « J’amène monsieur le mystérieux dans un endroit tout aussi secret que lui! On est pas très loin. » Quelques minutes encore et vous y étiez. C’est vrai que c’était pas un endroit très fréquenté, où vous alliez. Tu tournes dans une petite ruelle entre deux bâtiments très peu esthétiquement attractif. Tu t’arrêtes devant une porte sur laquelle tu déposes ta main sur la poignée. « Je suis peut-être une gosse de riche, mais je connais des petites merveilles peu fréquentables de la ville. » Et sur ces mots, tu entres dans le bâtiments. Bâtiment qui cachait un bar totalement inconnu du grand public. Il fallait le savoir, fallait en avoir entendu parlé, parce que ce bar, il est loin des boîtes chics de Miami. Seulement, tu aimes ces endroits. Tu y as passé tes meilleures soirées, toi la petite blonde. Bien sûr, en plein après-midi, il est vide. Il y a que ce vieux barman qui lave toujours ses verres. « Mark, tu nous sers deux bières mon chou! » Ce que tu pouvais te la péter quand tu voulais! C’est bon, on a compris, tu es une habituée! En fait, non! Tu veux seulement montrer une petite partie de toi qu’Ugo ne devait même pas soupçonner. Et Bim. « Suis-moi, toi! » Tu l’amènes dans ce petit coin, au fond du bar. Là où il y a cette table de billard. « Et si on jouait à un jeu? Question d’apprendre à se connaître, question de savoir ce que tu as dans le ventre. » Et tu le provoques toujours un peu plus, parce que ça t’amuse. Parce que tu adores ces sous-entendus ambiguës. Il a ce Mark qui vous apporte vos verres. Tu payes rapidement pour qu’on vous laisse seul. Tu attrapes deux bâtons et tu te postes devant le jeune homme devant toi, assez près. « Une boule, un secret. Tu peux dire ce que tu veux, sois seulement intéressant, sinon ce n’est pas drôle. Je te laisse même trouver la récompense de celui qui gagne. C’est pas gentil ça? » Tu t’approches encore un peu plus, tu ancres ton regard dans le sien. « Prêt à jouer? » Jouer. Jouer avec le feu. Jouer avec lui, te jouer de lui. Seulement, à force de jouer, tu oublis que tu peux aussi perdre et plus rapidement que tu ne le crois.

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Je me sens con à la suivre. J’espère pour elle qu’elle ne s’imagine pas les choses tel un cabot qui suit son maître. Mais c’est vrai. Je me sens comme un cabot qui ne sait même pas où il va, et qui peut-être, se rend de son plein gré à l’abattoir. Le trajet jusqu’à la terre inconnu fut long, et pourtant terriblement court. Je m’étais concentré sur ses courbes, sur ses hanches, sur les mouvements de ses cheveux, et sur la barre de nicotine que je fumais sans une once d’amour propre pour ses jolis yeux. J’écoutais ses paroles aussi, sans vraiment les assimilés. La seule chose que j’ai retenu, c’est bien la suivante: Si je suis sage, elle me laissera toucher. Compte là-dessus mon cœur. C’est déjà terriblement agréable de toucher avec les yeux, le contact promet alors d’être extrême. J’avais alors ris mesquinement suite à cette remarque. Puis j’apprends que je suis secret et mystérieux, les deux choses qui, en effet, me caractérisent le plus. C’est donc ça qui l’a perturbe tant chez moi. C’est ça qui créer notre relation si spécifique, en dehors du fait que j’ai du mal à la cerner. C’est bon à savoir.

Nous arrivons alors dans une petite ruelle étroite, un lieu que je n’avais jamais vu auparavant. Elle vente son statut social avant d’avancer que malgré tout, elle connait des lieux très peu fréquentables, tel que celui-ci. La perche est tendue, la situation est bien trop alléchante. Je sourie en coin avant de déclarer. « Aussi peu fréquentable que toi ? » Je retire la clope entièrement consommé d’entre mes lèvres avant de l’a balancer au loin dans la ruelle. Kassie ouvre la porte et je ferme la marche, curieux de savoir dans quel genre d’endroit nous nous sommes rendus. Il se trouve que c’est un bar, un bar de négligés, de démunies, un bar de clopeurs, un bar comme je les aime. Je lève les sourcils, impressionné par l’endroit où cette petite peste m’a si adorablement emmené. Et évidemment, elle connait le serveur. Sans même demander mon avis, elle commande deux bières. C’est parfait, une bière, mais jamais je ne l’avouerais, ça serait bien trop facile. « Et si j’voulais un cognac ? » Dis-je alors sèchement dans le rôle du parfait chieur, tandis qu’elle m’emmène dans un coin du bar, à une table de billard pour être exacte. Je découvre une nouvelle facette de la blonde, une facette que je ne connaissais pas. Mais je me doutais qu’elle n’était pas pure, ni toute blanche, ni toute noire. Mais de là à fréquenter des lieux tels que celui-ci, des lieux que moi, pauvre type, fréquente constamment ? Non, pas jusque là.

Cerise sur le gâteau, elle me propose un jeu. Je suis joueur c’est vrai, mais qui lui dit que j’ai envie d’apprendre à la connaître ? Personne. Mais elle n’a pas tord. Peut-être qu’en apprenant plus de choses à son sujet, des choses comme d’autres multiples facettes, je pourrais enfin conclure ce que je pense d’elle. Je pourrais enfin l’a voir comme Kassie-Faye Harries et non pas comme l’a fille qui lui ressemble. Je ne lui réponds pas. Je me tache de la fixer avec mépris, mais amusement. Elle attrape deux bâtons de billard tandis que monsieur Mark apporte nos bières avant de filer. Je continue à fixer son regard, la tête légèrement incliné vers le bas. J’ai un sourire en coin. Si j’hésite ? Non absolument pas. Je veux juste profiter de cette instant pour me donner l’opportunité de constater certaines choses, et par-dessus tout, l’a faire bouillir en attendant patiemment que je me manifeste. Je me fais désirer. Ce jeu, je le connais. Si je rate le trou, je lui dis l’un de mes secrets. Si je rentre la boule, alors c’est à elle. Si j’ai l’intention de lui dire certains de mes secrets ? Pas le moins du monde. Jamais je ne parlerais de Demi, de ma sœur dont personne ne connait l’existence, ou encore du mec que Bruno à frapper, ce mec dont on ignore les causes de sa mort. En vérité, je ne vais rien révéler de mon passé et de mes péripéties honteuses, même si c’est ce qui lui permettrait de me connaître le mieux. Alors maintenant oui, j’hésite. J’hésite à jouer le jeu et à cracher les secrets les plus innocents que je puisse avoir en tête, ou alors à dire des choses qu’elle sait déjà dans le seul but de jouer au jeu de la séduction. Tandis que je l’a regardais ténébreusement dans le brun de ses yeux, j’ai pris ma décision. D’une main ferme j’empoigne l’un des bâtons. « J’aurais bien dis honneur aux femmes, mais à moins de retirer tout ça, rien ne me prouve que t'en sois une. » Dis-je avec un sourire mesquin en coin, tout en dévisageant son corps de bas en haut. Elle l’aura comprit, c’est moi qui commence. Je suis plutôt doué au billard, à force de fréquenter ses pubs à la con. Et pourtant, je me lance dans ce jeu qu’elle a elle-même déclenché. Je me mets en position de jeu contre la table. Le bout du manche n’est qu’à quelques centimètres de toucher la boule blanche, quand d’un mouvement rapide, je l’a percute. Volontairement, je ne touche aucune boule. Mon échec prémédité est très facilement remarquable. C’était d’ailleurs le but. Je prends un air innocent au visage tout en me redressant. « Merde. J’vais devoir te dire l’un de mes secrets… » Dis-je sur-joué. Je pose le bâton au sol à la verticale avant de me rapprocher d’elle. Je suis vraiment très proche d’elle, à un tel point que je peux sentir son parfum s’initié dans mes narines. Nos souffles se percutent alors que je prends un air séducteur. La voix basse et provocatrice, presque dans un chuchotement, j’avoue enfin, une chose qu’elle sait déjà. « Je n’t’aime pas beaucoup Harries. Et pourtant, j’rêverais moi aussi d'te connaître un peu mieux… » Mon regard quitte le sien et descend pour à nouveau scruter son corps. Je parle de connaître chacune des parcelles de sa peau, chacune de ses courbes sur le bout des doigts. C’était sous-entendu, en espérant qu’elle le comprenne. J’attrape même avec délicatesse le bas de son t-shirt que je me mets à tripoter entre mes doigts. Je recule un peu mon visage sans même reculer le reste de mon corps, et innocemment, après mon coup de génie, je lâche le bas de son t-shirt laissant ma main coquine à nouveau pendre dans le vide. Mais avant ça, je me suis tout d’abord assuré d’avoir bien frôler une parcelle de la peau du bas de son ventre, celle juste en dessous du morceau de tissu précédemment manipulé. « Je crois que c’est à toi, blondasse. » Dis-je un peu plus fort cette fois. Séduction, haine, amusement, colère, bipolarité. Je ne m’en laisserais jamais.

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Qui aurait cru que ça aurait été aussi facile? Qui aurait pensé que tu pourrais le faire te suivre dans Miami avec cette facilité sans nom? Alors c’était tout ce que le Ugo mystérieux avait à offrir? On cligne un peu des cils, on se déhanche devant ses yeux attentifs et envieux et hop!, il te suivait jusqu’au bout du monde? Eh bien, non! Faut pas se faire de fausse idée, si tu l’avais avec toi, jusque dans ces ruelles, c’était seulement un coup de chance! Tu l’avais eu dans un bon jour. Un jour où la Kassie ne déplait pas trop au Ugo. Et c’est là que tu dois en profiter, c’est là que tu dois jouer! Et tu sais aussi que tout cela sera à recommencer la prochaine fois que tu allais le croiser. Tu savais qu’à chaque fois ce serait un retour à la case départ. Un retour dans les montagnes russes. Seulement, aujourd’hui, c’était aujourd’hui. Tu n’allais pas te soucier de l’avenir, parce qu’entre vous deux, c’était beaucoup trop imprévisible pour s’y attarder ou pour se prendre la tête. Et où l’amènes-tu? Dans un endroit peu fréquentables avais-tu dis et sa réponse qui suivit te fit rire. « Non, tu sais bien que je suis pire que n’importe quel lieu à Miami! » Tu vas jouer au même jeu que lui. Toi peu fréquentable? Il n’avait sûrement pas tord, mais tu te doutes que tu es un petit ange en comparaison aux personnes qu’il devait connaître! Mais bon, tu n’allais pas lui donner raison sans être un peu moqueuse. Et sur ces mots, tu pénétrais dans cet endroit qui allait être votre terrain de jeu pour l’après-midi. Et si on t’avait dit que tu serais là, avec lui, au lieu de supporter tes cours de la journée, tu aurais bien rit! Toi et Ugo, ensemble, sans raison aucune. Sans n’avoir ta voiture à réparer. Eh bien! On aura tout vu.

Tu ne t’arrêtes pas là. En fait, tu ne faisais que commencer, c’était seulement un avant-goût pour la suite. Tu l’amènes dans ce petit coin, tu vous commandes à boire avec nonchalance et bien sûr, il devait dire un commentaire. Faudrait pas qu’il perde de sa réputation de connard surtout! Et c’est fou comment cela ne t’atteint plus! Ça te fait maintenant rire! Vas-y Ugo, fais-moi croire que je te dégoûte! Tu m’as quand même suivi! « Si Monsieur veut du cognac, il s’en paiera un après sa bière! Profite du fait que je te paies un verre et ne l’ouvre pas, ça n’arrivera pas souvent! » Ah non, il devra pas en prendre l’habitude. C’est bon, tu voulais le surprendre et maintenant que c’était fait, tu redevenais toi-même. Et ce toi-même lui propose un jeu. Un jeu totalement enfantin, digne des soirées d’adolescents qui commencent à vouloir s’amuser tout en séduisant. C’était un classique et ça faisait toujours son effet. Comme ça ferait son effet avec lui, enfin… Tu l’espérais! Ses secrets? Tu n’attendais pas aux grandes déclarations, tu n’en feras certainement pas non plus, mais tu voulais seulement en apprendre davantage sur lui et qui sait, peut-être en apprendrais-tu un peu plus sur ce qu’il pense de toi. Tu es devant lui et tu le défis de participer. Tu vois l’hésitation qui traverse son regard. Elle n’est là qu’un bref instant, mais tu l’as bien vu. Aurait-il peur le Ugo? Et cette hésitation agrandit ton sourire fier sur tes lèvres. Oh, tu allais t’amuser, tu n’as aucun doute là-dessus! Il s’empare alors du bâton. Gagné! Il va joué! « Tu veux passer aux toilettes pour que je te montre que j’en suis bien une? Allez, commence! Comme ça, tu t’assures presque assurément que je vais te dire un secret en premier… » Et pendant que tu parles, il s’exécute. Il joue son coup et clairement, il le rate. C’était voulu. Il l’avait prévu. « …Ou pas! » Il fait quoi? Pourquoi il rate? Sa petite comédie te fait rire. Tu le laisses approcher sans problème. Tu es impatiente à l’entente de ce fameux secret. Il est si près de toi que tu es surprise que ça vienne de lui. Agréablement surprise, bien sûr. Votre proximité te permet de sentir son odeur, de lire parfaitement dans ses yeux. Tu te mords la lèvre inférieure quand il te dit son secret. Parce qu’il ne t’aime pas? Non, ça, limite tu le savais! Plutôt parce qu’il se contredit encore. T’aime le regard qu’il pose sur ton corps, t’aime sa main qui s’empare du bas de ton haut. T’aime ce contact anodin pour toutes les réactions que ça crée chez toi. Tu as des frissons qui marquent la peau de ton ventre. Tu comprends parfaitement le sous-entendu, Faudrait être stupide pour ne pas le comprendre. « Je ne suis pas certaine que ce soit un secret. Sauf si tu n’as pas conscience de comment tu me regardes. C’était plutôt évident, non? » Tu ne bouges pas. Tu ne t’éloignes pas. Tu veux garder cette proximité le plus longtemps possible. Tu le provoques toujours un peu plus, autant par les yeux que par tes paroles. Et si on gageait qu’il n’allait pas tenir jusqu’à la fin de la partie? Tu te recules alors qu’il te dit que c’est à ton tour. Tu tournes les talons, tu iras chercher la boule blanche pour la repositionner vu qu’il n’a rien touché. Tu reprends place devant lui, tout près. Tu te penches au-dessus de la table, bien à sa vue, le bâton entre tes doigts. Tu peux imaginer ce que tu veux beaux brun! Tu frappes finalement. Tu ne feras pas comme lui, tu joues très bien. Tu en entres même une dans un trou. Tu es fière, tu as un sourire victorieux. Tu lui fais face de nouveau. « Et un autre secret Monsieur Fernandez! Je t’écoute, surprend-moi cette fois-ci. » Dis-tu dans un murmure. Tu ne sais pas à quoi t’attendre cette fois-ci. Tu as tout aussi hâte de savoir. Tu dois seulement jouer ton deuxième coup. Tu iras de l’autre côté de la table. Tu te pencheras encore une fois. Seulement cette fois-ci, tu le regardes dans les yeux, ce sourire joueur au coin des lèvres. Tu es peut-être un peu trop concentrée sur lui parce que tu ne réussis pas ton coup. Tu reviens devant le jeune homme, tu t’appuies sur le bord de la table, entre lui et celle-ci. Tu lui fais signe d’approcher de ton index, comme si le secret avait une importante capitale. « J’ai cette irrésistible envie de te garder avec moi, alors que tout me dit de te laisser pourrir dans un coin avec ta haine injustifiée. Laquelle de ces deux envies je devrais écouter, selon toi? » Comment tourner un secret en question pour lui faire perdre contenance. Tu murmures toujours. Tu es toujours en mode séduction. Voilà, tu vas commencer à te brûler, petite blondinette!

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Si une demoiselle recherche un parfait gentleman, un mec qui laissera passer ses besoins avant les siens, il faudrait très certainement me placer à la fin de la liste. Enfin, pour moi, il me semble entièrement normale que ce soit Kassie qui paye la tourné. Je n’ai invité personne, je n’ai jamais demandé à me rendre dans un bar tel que celui-là, alors si déjà je suis emmené à boire un coup, la moindre des choses serait de ne pas avoir à le payer. Alors oui, j’avais profité du fait qu’elle me l’offre, cependant je ne pouvais pas lui promettre de la fermer, ça serait au dessus de mes forces.

Je ne le nie pas, et je ne m’en vente pas non plus. Mais le billard ça me connait, et si je l’avais voulu, j’aurais fais en sorte à ce qu’elle enchaîne les petits secrets, à ce qu’elle me dise tout ce que je ne suis pas intéressé de savoir. J’ai préféré m’initier à un jeu de dernière minute. Au moins comme ça, nous avons tous deux établis les règles d'un jeu différent, se pratiquants en même temps. Tout en un. Une perfection. Mais surtout je m’en foutais. Bien qu’elle m’intrigue, je ne souhaite rien savoir d’elle. Peut-être que j’ai peur. J’aurais peur de connaître son histoire, son passé, ses manies. J’aurais peur que dans ses récits elle me face bien trop penser à Demi. Je m’étais donc approché d’elle, j’avais joué avec le bas de son ventre et elle m’avait fait remarquer la façon dont je l’a regarde. Cette façon si spéciale dont je l’a regarde, ce regard si fixe et profond est assidue à toute la haine, la séduction et l’intrigue que je peux ressentir à la fois. Je ne dirais pas qu’elle me perturbe, mais à jouer avec elle, à jouer avec mes émotions, je me perds tout seul. Elle a comprit le sous-entendu visiblement, et rien dans sa voix ou dans son comportement ne semblait repousser les faits. La partie commence alors à devenir intéressante. Quoiqu’il en soit, je le sais, je le sens, cette proximité ne lui avait pas déplu, ce qui avait valu à mon visage d’esquisser un sourire en coin, un sourire satisfait. Mais c’est à son tour maintenant, et rien que l’idée de l’a voir tripoter un bâton, ça m’éclate. Je l’a regarde faire tout en buvant une gorgée de ma bière. Je ne l’ai pas lâché du regard. Il faut avouer qu’elle est terriblement sexy dans cette position. C’est lorsque la boule rentre dans le trou qu’un rire amusé et étouffé vient s’échapper d’entre mes lèvres. Je baisse la tête avant de passer ma langue sur ma lèvre inférieure, plutôt emmerdé. C’est encore à moi. Je dois révéler une chose qu’elle sait déjà, ou alors une chose qui importe peu. Et après ça, elle jouera son deuxième coup, celui qu’elle échouera. Parce que je le sens comme ça. Je sais que l’a prochaine, elle ne l’a mettra pas. Je lui jette un sourire taquin tandis que je déclare. « J’ai un tatouage au dessus de la fesse gauche. » Je me mets à rire. Je jure que peu de gens le savent, et ça m’est égale que ça se sache ou non. J’étais à cours d’idée séductrice, mais les idées revirent assez rapidement en l’a regardant jouer son deuxième coup. Elle se penche et j’ai une merveilleuse vue sur son décolleté. Je ne me prive pas pour la contempler, ni même pour me montrer tout sauf discret. Comme à mon attente, elle rate son coup, littéralement. Ses yeux étaient rivés sur moi, comme s’il lui avait été impossible de les détacher. A force de moi-même la fixer, je réussi à attirer son regard, comme deux aimants. J’ai une fois entendu dire qu’une personne qui en regarde une autre plus de 5 secondes signifie qu’elle l’a haie, ou alors qu’elle a envie d’elle. C’est les deux ici. Clairement les deux. Les secondes sont doublés, voir même triplés vu le nombre de mouvement sexy qu’elle a infligé à mon esprit pervers, le nombre de mots haineux qu’elle à infligé à mes tympans.

Kassie vient alors se placer entre la table de billard et moi tout en me révélant son secret, un secret tout sauf inattendu. Son indexe m’indique d’approcher. C’était inutile, j’avais déjà fais quelques pas de souris avant de l’a coincé entre moi et la table. Ses mots ne m’ont pas surpris plus que ça, mais je dois avouer que la question est bonne. A vrai dire je pense la même chose à son sujet. Kassie et moi, nous nous voyons de la même manière. Nous sommes comme le Lion et la Lionne. Imaginons que ses deux êtres vivants sont les derniers sur Terre. Ses bêtes sont affamées, et elles devront choisir entre se lancer dans une bataille acharnée afin de savoir qui se nourrira de la chair de l’autre, ou encore vivre en harmonie et repeupler l’univers. Et ça, c’est un dilemme crucial. Personne ne peut résister à la faim quand elle nous gagne. Elle vous ronge jusqu’à la moelle. Son murmure m’a poussé à me rapprocher d’autant plus. Je suis presque collé à elle. Nos bassins se frôlent tandis que je m’appuie, le bras tendu, sur le bord du billard. Elle est clairement entrain de me séduire, tout comme moi. Les lions ont alors choisis de repeupler l’univers ? Mieux vaut ne pas s’emporter tout de suite. C’est alors que je veux trouver une réponse à sa question si parfaite. Il est vrai que ma haine n’est pas entièrement justifiée. Du moins pas en sa connaissance. J’approche mes lèvres au creux de son oreille avant de déclarer à mon tour dans un murmure tout aussi séducteur que le sien. « Tu n’as qu’à écouter l'envie qui fait briller cette étincelle dans tes yeux dès que ton regard se pose sur moi. » Puis pour casser ce côté poétique et prétentieux à la fois, je me reprends directement un peu plus fort après avoir reculé mon visage et placé mon regard face au sien. « Ou alors celle qui était d’avis qu’on aille faire un tour aux toilettes. Mais j’imagine que c’est la même ! » Un sourire taquin s’esquisse sur mes lèvres. Un tout nouveau sous-entendu, plaisantin cette fois. C’est bien la base de la séduction. De la mienne en tout cas. Puis je trouve que je lui ai offert beaucoup trop de proximité, beaucoup plus qu’elle n’en mérite. Je baisse les yeux et regarde ses délicieuses lèvres quelques secondes avant de me reculer soudainement, presque brusquement. En fait, c’est à moi de jouer. Cette fois je n’ai pas l’intention de me laisser perdre pour ses jolis yeux. Non, tout de suite après avoir empoigné le bâton, je me penche au dessus de la table, et ce juste à côté d’elle. J’oublie sa présence et la tension sexuelle que je sens s’installer, et ce rien qu’une petite seconde. Le coup m’est favorable. La boule blanche vient percuter la boule rentrante dans le trou. Je me redresse, satisfait et fière de moi. Je lui jette un sourire narquois. Je n’ai pas perdu le coup de main. Conclusion, c’est à nouveau à elle de parler. Avec taquinerie, je passe devant elle afin d’atteindre le divan collé au mure qui longe la table de billard. Je fais le mec patient et pas pressé du tout. Je pose mes fesses sur le divan et m’y adosse, ne lâchant pas Kassie du regard. Je forme un triangle avec ma jambe de droite dont la cheville se dépose sur le genou de gauche, tout en déposant mes deux coudes sur le dos du divan. Position taquine, position du glandeur, position du j’menfoutiste. « Va y. J’t’écoute ! » Dis-je alors amusé, le regard perçant. J’ai hâte de savoir quelle autre délicieuse chose elle va me sortir. Je jouerais mon second coup après ça. Comme dit, je ne suis pas pressé

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La tension? Tu la ressens. Tu la ressens même très bien. Est-ce que tu pouvais te douter, au moment où tes yeux s’étaient déposés sur le lui dans le parc de l’université que tout ceci s’installerait aussi rapidement? Non, bien sûr que non! Tu t’attentais à ce que votre instant à deux ne dépasse pas les frontière de la Fac, encore moins qu’il serait… Agréable en ta présence! Oui, parce que le mot agréable est tout de même rapidement dit! C’est pas comme s’il était devenu ton pote non plus, hein! Il reste toujours le Ugo qui ne peut pas te voir en peinture, mais là… Il y a cette tension bien palpable entre vous. Cette tension qui te fait sourire, qui t’oblige à être toujours plus audacieuse, qui demande de te perdre dans son regard troublant. Regard qui ne quitte pas le tiens, qui est bien accroché, alors qu’il te touche. Cela devait bien être le premier contact entre vous qui était initié par lui. Alors, si tu te perds, cet après-midi, tu ne seras pas seule. Il se perd lui aussi. Tu le vois par ce changement d’attitude. Il n’est plus prudent, il joue avec le feu autant que toi! Et tu adores ça! C’était tellement excitant, imprévisible! Tu as ton coeur qui s’emballe sous ta poitrine seulement parce que tu meurs d’envie de connaître la suite! Oh! Mais tu vas la connaître cette suite! Sois patiente, tu risques d’apprécier davantage! Alors, tu joues ton coup. Coup que tu réussis. Tu veux son secret. Tu veux cette nouvelle partie de lui que tu ignores. Et cette révélation te feras éclater de rire. Quoi, un tatouage au-dessus des fesses? La bonne blague! « C’est qu’il est coquin le petit Ugo! Dis-moi que tu étais bourré pour te faire ce tatouage à cet endroit-là! Sinon, c’est quoi? Tu t’es fait tatoué mon nom? » Hum… Et que pouvait-il s’être tatoué là? Un tatouage aussi honteux que l’emplacement? Peut-être! Et seulement là, tu imagines un petit papillon sur le corps du Bellâtre! Alors là, tu ris toute seule! Bon, tu te moques clairement, en fait!

Tu devais alors rejoué. Tu avais savouré ta victoire un peu trop rapidement, parce que ce coup, tu le ratas avec beauté! Allez, ne te laisse pas déconcentrer par Hernandez! Il va t’avoir et tu n’auras rien compris à ta vie! Et si c’était calculé cet échec? Nah… Pas du tout! Tu as raté et c’est à toi de lui dire quelque chose sur toi! Et cette révélation exprime assez bien cette relation entre vous, votre bipolarité. Tu le veux autant qu’il te repousse. Tu as ton corps qui te pousse vers lui, autant que ta tête qui te dit de le laisser en plan. Tu as toutes ces sensations qui s’empare de toi quand tu le vois autant que tes mots ne peuvent s’empêcher de vouloir l’énerver. C’était contradictoire. Aussi contradictoire que ta question. Tu veux seulement qu’il te dise de rester, qu’il te dise de le désirer encore un peu plus. Et pourquoi donc? Pourquoi cette soudaine envie? Tu n’en sais rien et tu ne veux probablement pas le savoir non plus. Tu profites, tu vis le moment et tu joues. Tu séduis et tu nargues. Point. Pas de questions, pas de prise de tête. Puis, sa réponse est exactement ce que tu voulais. Ce n’est pas explicite. Ce n’est pas clair, net et précis. C’est sous-entendu, ambiguë. Tu en déduis ce que tu veux. Tu peux même remarquer ses yeux qui s’attardent sur tes lèvres et les tiens feront de même. La tension a augmenté. Peut-être tout autant que la chaleur de la pièce. Merde! Il te fait trop d’effet sur ce coup-là. On se ressaisit Harris! Laisse-le s’éloigner et contrôle tes envies de justement aller directement au toilettes. Non, non! Ça ne doit pas être aussi facile que ça! Pas aussi facile pour toi, pas aussi facile pour lui. Tu perds là. Tu perds et il gagne! Tu dois reprendre le contrôle de ce jeu de séduction. Jeu que tu as toi-même établi. « Dans les deux cas, c’est la fierté de te voir succomber! Va pas te faire d’idée. » Oui, c’est ça, à d’autres, la Belle! Et pourtant, tu es convaincante en parlant. Tu as ce sourire arrogant, cette attitude confiante, alors que dans ta tête, tu as l’imagination qui s’active. Alors que dans tes veines, tu as ton sang qui bouillonne alors que tu le contemples. Tu restes de ton côté de la table alors qu’il joue à son tour. Tes yeux quittent Ugo pour suivre la trajectoire des boules. Beau coup! Alors, encore à toi de parler! Tu ne sais pas quoi dire… Puis, il a cette attitude trop sûr de lui qui t’énerve complètement. A-t-il senti que tu n’étais plus maître de la partie? A-t-il senti ce début de victoire? Non, il n’a rien senti du tout, parce qu’il n’a rien à sentir. C’est lui qui doit rester chamboulé, pas toi. C’est toi qui va gagner et non le contraire. Alors, voilà, tu empoignes, toi aussi, ta bière. Tu en prends un bonne gorgée. Tu peux sentir les bulles de la boisson dans ta gorge et la fraîcheur te donne des frissons. Ça te donne aussi de l’audace. Tu déposes ton verre sur la petite table devant le canapé. Tes gestes seront rapides. Tu donneras un coup sur sa jambe repliée, l’obligeant à la déposer au sol et tu iras t’asseoir en califourchon sur les cuisses à Ugo, lui faisant face. Tu as tes deux jambes qui sont de chaque côté de lui. Tu as cet air amusé qui s’est emparé de ton visage. Ta tête ira se perdre dans ton cou. Furtivement, tes lèvres se déposeront sur sa peau, trois fois. Tu remontes vers son oreille. Tes mains glissent le long de son torse. « Il m’arrive de chanter sous la douche. » Contraste. Contradiction. Rien ne concorde. Et c’est là que tu t’éloignes, que tu te laisses tomber sur le canapé à ses côtés, prenant même tes distances. Tu ne le quittes pas des yeux. Tu veux voir ses réactions face à ton petit scénario. Tu fais comme si de rien n’était, comme si ça avait été banal, naturel. « Allez, tu as un autre coup à jouer! » Tu reprends ta bière, tu prends une gorgée. Il ne gagnera pas!

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Mon histoire de tatouage l’a fait rire. J’aurais du m’en douter. Je pense que si elle savait ce qu’il se cache derrière, elle n’en rirait pas. J’ai eu une enfant difficile, un milieu de vie désastreux, un père indigne et sans pitié. En fait, il était tout sauf un père. Il ne possédait pas une seule once d’amour propre. Son cœur était hanté par le diable. Alors ce tatouage n’est là que pour cacher une souffrance, une enfance sombré sous les décombres. Elle cache une cicatrice. J’ai de qui tenir, d’un papa violent et destructeur. Je suis le même, avec maintiens et dignité. Si j’ai l’intention de lui dire tout ça ? Jamais. Cette fille ne saura jamais rien de mon passé, de ma vie avant aujourd’hui. Je suis un connard, un pur con aux premiers abords, c’est vrai, mais j’ai de quoi tenir. J’en joue, mais j’en souffre aussi beaucoup. Alors peut-être qu’au fond de moi j’ai d’autres raisons de détester cette fille que celle de sa ressemblance avec Demi. Peut-être que je l’a trouve trop attaché à mes secrets, trop attiré par mes mystères. Peut-être que j’ai peur qu’elle finisse par les percer. Je ne laisserais pas faire.

Je me suis montré oppressant. J’ai voulu l’a déstabiliser autant qu’elle me déstabilise. Je ne dois pas l’a laisser entrer dans ma tête, il y a trop de choses à cacher. Je lui fais de l’effet je le sais, mais ce n’est pas à sens unique. C’est réciproque et j’ai du mal à l’accepter. Nous avons quitté la haine, nous l’avons laissé dans le parc de l’université et avons donner sa place au jeu, à la séduction, à la passion. Le lion et la lionne. Elle rassemble mes deux hypothèses afin de tourner le jeu à son avantage. Elle est fière de me voir succomber. Elle me fait de l’effet, et elle le sait aussi. La partie commence alors vraiment à devenir intéressante, voir même alléchante. Mais assied sur ce divan, la jambe en triangle, attendant patiemment sa confession, je suis loin d’avoir tout donner. Et elle aussi. Nous sommes loin d’être à l’apogée de nos ressources. Je m'attendais à des mots. J'ai le droit à une gestuelle sexy et excitante. En effet elle se met à califourchon sur mes cuisses. Ses doigts caressent mon torse, ses lèvres embrassent mon cou. Je ne dis pas un mot, je profite du moment présent. Mon pouls s’accélère, mon corps se remplit de frisson. L'adrénaline me gagne. Mais je dois me maîtriser. Je dois rester concentré sur mes principes et empêcher mes envies de prendre le dessus. Son contact est fort et je le déteste. Je baisse les yeux et ouvre la bouche afin d'expirer toute l'air que j'ai volontairement préservé. Puis comme si rien ne s'était passé, elle se décale et se relève, m'avouant chanter sous la douche. Je ne peux pas m'empêcher de rire; son jeu est parfait. Elle me provoque, et j'ai l'intention de dominer le jeu, de le tourner à mon avantage. On résiste l'un à l'autre, mais on le sait tous deux, au finale il n'y aura aucun gagnant. On va perdre tous les deux. Mais je veux gagner, je veux gagner le jeu de qui fera craquer l'autre en premier. On est en plein dedans.

Je l'a regarde curieusement un sourcil levé. Je ne ferais pas le moindre commentaire sur son attitude théâtrale, ça serait un pas de moins vers la victoire. « C'est vrai. » Je prends mon temps avant de me mettre debout, cependant je ne l’ai pas lâché des yeux. C’est comme si je lui fais passer un message par le regard. Ah tu veux jouer à ça ? Allons y dans ce cas. Je passe à coté d’elle afin d’atteindre le bâton posé précédemment sur la table de jeu. J’ai un sourire en coin qui ne me lâche pas. Kassie est devant la table de billard, et je me place juste devant elle, bâton au sol. Je l’a regarde droit dans les yeux quelques secondes avant de poser ma main libre sur son bras. Sans trop d’effort je la tourne avec délicatesse et tendresse afin que son visage soit face à la table de billard, et non face à moi. Maintenant dos à moi, j’attrape délicatement la totalité de sa chevelure blonde que je dépose du coté gauche, laissant son oreille droite à disposition pour les quelques mots que je vais prochainement lui susurrer. Ma main libre vient ensuite glisser le long de son dos avant de se laisser guider jusqu'à son ventre par mon bras qui s’enroule autour de sa taille. C’est là que je penche mon visage vers sa nuque et glisse au creux de son oreille dans un chuchotement séducteur. « Prête à en savoir plus ? » Oui je le sais, je le sens, je vais rater mon coup. Mais ça n’a aucune importance à coté de ce que je fais en ce moment. Ma main à plat contre son ventre, mes lèvres et mon souffle quittent la position de susurre de son oreille et glissent le long de sa nuque pour finir leurs courses dans un baisés au bas de son cou. Puis je relâche tout. Je fais glisser mes lèvres, ma main, mon bras, tout en harmonie, afin de tout lâcher. Comme si rien ne c’était passé, je me décale, et joue mon coup. Je le rate. Je me pince le coin de la lèvre tout en m’adossant à la table de jeu. Je croise mes chevilles et tourne la tête vers Kassie. Mon regard est mystérieux, sombre, charmeur, méprisant. Il est tout ça à la fois. Il a pour but de l’a déstabiliser, de l’a faire perdre. Je veux qu’elle craque. « Bon… Je dirais que… » Je fais mine de réfléchir, mais je sais parfaitement ce que je dois dire. Ce n’est pas un secret, c’est une certitude. «…Tu vas perdre. » Dis-je avec taquin et mesquin. C’est à double sens, une fois de plus. Mes yeux viennent contempler une nouvelle fois les courbes de son corps du bas vers le haut. Une provocation que je juge nécessaire. Elle aime son corps et elle en joue. Autant le favoriser.

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Voilà. On l’avait dit. On l’avait prédit. Te brûler. Tu allais complètement te brûler à jouer comme cela avec le feu! Tu as oublié avec qui tu jouais jolie Blondinette. Ugo n’est pas le mec facile à cerner, le mec que tu pourras déjouer aussi facilement que tous les autres et il te le prouve bien! Il te le démontre plus que bien. Alors qu’il s’approche de toi plutôt que de jouer son coup, tu ne bouges pas. Tu le laisses approcher, tu le laisses pénétrer ta bulle sans rien dire. Tu as ton sang qui se fige un instant alors qu’il te tourne pour que tu lui fasses dos. Il se fige avant de bouillonner davantage. Tu as le coeur qui s’emballe. Merde! Et pourquoi il s’emballe celui-là? Tu retiens ton souffle, tu ne bouges toujours pas, pire qu’une statue. Tu retiens ta respiration alors qu’il replace ta chevelure dorée. Ton corps est parcouru de frissons alors que sa main se faufile jusqu’à ton ventre! Putain, il fait quoi là? Non, non! Il devait être déstabiliser par le jeu du canapé, pas en ressortir plus fort! Si tu étais prête à en savoir plus? Eh bah non, hein! Tu ne vas pas l’écouter avec tout ça. Pourtant, il ne faisait pas grand chose. Tu avais déjà connu des mecs plus entreprenant que cela. Alors pourquoi toutes ces sensations? Parce que ça venait de lui et parce qu’il agit ainsi alors qu’il a toujours été distant, froid, te montrant aucun intérêt autre que par le regard… Ah! Et puis voilà le coup de grâce. Ses lèvres. Ses lèvres sur ta nuque sans défense. Ta nuque qui est véritablement un point faible sur ton corps. Ta Kryptonite. Tu as ton corps qui s’active, qui s’anime suite aux gestes d’Ugo. Il gagne. Il gagne de la plus belle des manières. Tu te hais d’être aussi faible que ça à ce moment même, alors que tes yeux se sont brièvement fermés. Tu le hais encore plus de te faire ça. Tu, tu… Tu le hais véritablement alors qu’il se détache de toi et que tu n’étais pas prête à ça. Alors que ça crée un manque. Le connard! Tu as envie de lui lancer une boule de billard en pleine gueule! Pas qu’une, mais bien toutes. Tu as perdu ton sourire. Tu te contentes de te morde la lèvre inférieure alors qu’il joue son coup -qu’il ne réussit pas- et qu’il te dit son « secret ».

Perde à quoi? À cette partie de billard ou à ce jeu de séduction entre vous deux? Les deux, très probablement. Non, tu ne pouvais pas perdre! Tu ne voulais pas perdre! Il pouvait gagner au billard, s’il voulait, mais pour le reste, tu gardes ta victoire en tête surtout avec ce qu’il venait de se passer. Tu ne veux pas d’autre finalité. Puis, même s’il perdait, ce n’est pas comme si ta victoire lui ferait défaut non plus! Le fait même de perdre lui donnait directement accès toi et à faire exploser cette tension qui n’arrêtait pas de grimper un peu plus que les contacts se multipliaient entre vous. Alors, si ta victoire lui serait favorable, la sienne te le serait aussi, non? Moui… Non! C’était une question de principe, d’orgueil mal placé! S’il gagnait ce serait comme si tu avouais qu’il te fait de l’effet, avouer que tu ne peux pas te contrôler en le voyant. Ce serait lui donner trop d’importance, alors que vous n’en étiez pas là. Enfin… Tu ne penses pas que c’est la même pour lui? Elle peut se taire cette conscience, bon dieu? « Ne cris pas victoire trop vite Hernandez! J’ai des talents cachés que je pourrais bien te dévoiler avant la fin de cette partie! » Et le double sens, il reste dans votre conversation, parce que bien sûr ce n’est pas réellement au billard que tu es douée. Ta spécialité à toi, c’est dans un autre domaine! Alors tu t’approches de lui. Tu changes de stratégie. Ne dit-on pas que l’on désire toujours plus ce qu’on ne peut pas avoir? Oui, c’est bien ce qu’on dit. Alors tu passes à côté de lui. Très près. Il peut sentir ta présence. Il peut même la ressentir. Ton regard ne quitte pas le sien. Je suis là Ugo, je n’abandonne pas et tu vas craquer! Tu lui prends son bâton de billard d’entre ses mains, sans le toucher. Vraiment, tu fais tout pour qu’il n’y ait aucun contact entre vous, pas même vos pieds qui se frôlent, mais tu restes près, très près. « Maintenant, dégage! Laisse-moi jouer. » Le ton de ta voix est direct, autoritaire. Tu n’as même plus ce sourire joueur et pourtant il est évident que tu joues. Peut-être parce que la tension sexuelle qu’il y a entre vous ne diminue pas, au contraire. Qu’il bouge ou non, tu le contournes. Tu te positionnes pour jouer ton coup. Coup que tu réussis. Il fallait que tu réussisses. Tu ne dis rien, tu joues immédiatement ton deuxième coup avant même qu’il ne révèle quoi que ce soit. Raté. Tu reviens vers lui. Ton attitude à complètement changé du divan, ajoutant un peu plus à votre bipolarité démentielle. Tu lui tends la bâton que tu tiens fermement. Trop fermement pour le lui laisser quand il tirera dessus. « À toi. Une révélation et un coup à jouer. »

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Pour moi oui, elle va perdre. Elle doit perdre. Non seulement à cette pathétique partie de billard, mais aussi à ce jeu de séduction. Elle doit craquer, je sais qu’elle le peut. Lors du contact si fort que j’avais crée entre nous, j’ai senti son corps se décontracter, sa peau apprécier les moindres de mes gestes. Elle ne peut pas nier l’effet que je lui procure, exactement comme je suis dans l’incapacité de le nier aussi. Nous sommes tous les deux piégés, il va falloir se rendre à l’évidence. D’ailleurs elle me fit part d’une nouvelle réflexion pleine de sous-entendus. J’ai d’ailleurs trouvé ça assez perplexe. En effet elle a avoué avoir des talents cachés qu’elle risque de me dévoiler très bientôt. Mademoiselle se rend-elle compte qu’elle craquera bien avant moi, ou au contraire est-elle certaine que je craquerais avant ? J’aimerais tellement qu’elle craque. Et pourtant la stratégie qu’elle emploie en ce moment même, est parfaite. Elle en ferait craquer plus d’un, et moi par la même occasion. Elle passe près de moi, froidement, et sans même me toucher. Elle a rompu tout contact. En fait, elle se force de rompre tout contact. Je sourie, emmerdé tout en mordillant la lèvre tandis qu’elle se met à jouer. Mon visage exprime tellement ce que je pense, que je n’ai même pas besoin de m’exprimer pour l’instant. Je l’a laisse jouer, je l’a regarde faire. La psychologie inversé c’est vraiment intelligent de sa part. J’ai du mal à me retenir. J’aimerais embrasser et toucher chaque partiel de sa peau rien que pour lui prouver que je ne lui suis pas indiffèrent. Mais c’est exactement ce qu’elle veut ; que je lui saute au cou. Voilà la stratégie qu’elle a employée. Je le sais, je le vois.

Juste après qu’elle ait joué ses deux coups elle s’est rapproché de moi et m’a tendu le bâton d’une main ferme. C’est là que j’ai réagis. Je me mets à rire mesquinement sans l’a lâcher du regard. Je vois clair en son jeu, et mes expressions le reflètent clairement. Ce sourire ne quitte pas mon visage quand enfin je déclare d’un ton amusé et provocateur. « Arrête de t’torturer. » C’est alors que j’empoigne le bâton qu’elle tient toujours. Kassie tient ce bout de bois si fermement, que je n’ai eu qu’à tirer un bon coup pour qu’elle soit tirée vers l’avant. Son visage se retrouve alors proche du mien, involontairement pour elle, volontairement pour moi. Nous tenons toujours ce bâton positionné entre nous. On se croirait dans une manche pour savoir qui est le plus fort, et au fond c’est un peu ça. On se test, on se cherche, on se trouve. Mon regard s’enfonce dans le sien, et mon sourire séducteur prend racine sur mon visage. La proximité soudaine est si flagrante que je sens son parfum imprégné mes narines. Son souffle percute le mien. Je pourrais demander a quelqu’un de m’assassiner sur le champ si je n’étais pas si sure d’être capable de résister. Dans un chuchotement je déclare enfin pour accompagner ma précédente affirmation. « En fait on est tous les deux entrain d'se torturer, et ton semblant d’indifférence à la con n’y changera rien. Alors je te propose une trêve, une trêve d’un des deux jeux. Je te laisse choisir lequel. » Je lui dis tout ce qu’on sait déjà. Je lui fais pression, et j’aime ça. En vérité, je suis entrain de l'appâter. J’ai quitté les sous-entendus pour une fois, et j’ai clairement dit ce qu’il en est. Les deux jeux me plaisent, mais il en est un qui attise ma convoitise bien plus que l’autre ne le pourrait jamais. Je vous laisse deviner lequel.

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D’accord, alors là, réfléchis Kassie! Tu fais quoi? Tu choisis quoi? Tu n’as pas trente-six options, tu en as que deux. Quel jeu veux-tu arrêter? Le billard ou la séduction? Tu as ton regard qui se perd dans le sien. Tu le sondes à la recherche de la bonne réponse. Tu t’en tapes du billard, mais accepter de continuer l’autre jeu, c’est de lui donner la victoire direct. Il est pas con, le Ugo. Il est même étonnamment malin! Seulement, tu n’as pas envie d’arrêter là, alors que vous êtes si près l’un de l’autre, alors que tu peux ressentir la chaleur de son corps contre ta peau, alors que son odeur t’embrouille les sens. T’es prise au piège dans cette situation, basculant entre ton orgueil et tes désirs. Et bien entendu, ce sont ces derniers, encore une fois, qui te guident, qui font le choix. Arrête de t’torturer, avait-il dit! Il ne sait pas encore que c’est lui que tu vas torturer dans quelques instants. Ta main quitte finalement le bâton. L’indifférence n’a pas fonctionné -ou trop bien que cela lui a inspiré cette nouvelle tactique? Eh bien, on allait revenir avec l’idée de départ : lui donner envie jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus. Tu succombes, si on peut dire, en premier, mais tu n’as pas dit ton dernier mot. Tu t’approches davantage, si cela était encore possible. Tu ne brises pas le contact de vos deux regards. Tu as tes mains qui viennent se glisser sous t-shirt, le bout de tes doigts se baladant sur sa peau chaude, allant jusqu’à son dos. Tes lèvres iront frôler les siennes alors que tu dis ces quelques mots : « J’ai choisi. » Rien de plus. Tu ne t’expliques pas, tu ne développes pas. Il va comprendre si ce n’est pas déjà fait. Tu lances un regard en direction du bar. Le fameux Mark est toujours là, nettoyant toujours autant, seulement il vous regarde et ça, ça t’énerve. Ça te tue une ambiance. Tu captures de nouveau le regard d’Ugo. Tu es toujours aussi près, tes mains s’amusent encore dans son dos. Une d’entre elle prend le bâton des mains de l’Espagnol et le dépose rapidement sur la table de billard. Ton autre main agrippera le bas de son haut, l’obligeant à te suivre alors que tu recules vers le fond de la pièce. Tu le gardes près de toi, tu ne veux pas défaire le contact entre vous. « Que les choses soient claires, Hernandez. Tu n’as pas gagné. T’as pas perdu non plus. Alors range-moi ce sourire niais de sur ton visage et suis-moi. » Dit la fille qui a aussi ce putain de sourire provocateur sur les lèvres. Tu vous fais franchir une porte, porte qui mène à l’extérieur, à l’arrière du pub. Une ruelle complètement déserte, sans aucun passant, vous accueille. « Maintenant le vrai jeu commence. » Tu le pousses contre le mur, tout juste à côté de la porte. Tu prends un instant seulement pour garder vos regards accrochés l’un à l’autre. Tu emprisonnes ta lèvre inférieure entre tes dents. Tes yeux se promènent alors sur son corps, le regardant de la tête aux pieds. Tu t’approches de lui, tes mains jouant avec son t-shirt à nouveau. La tension est de retour. Elle monte, elle étouffe. Elle te pousse à agir, là, maintenant. Elle te pousse à poser tes lèvres contre le cou d’Ugo. Non, tu n’as pas perdu et tu allais bien lui faire comprendre.

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Pour moi le choix est déjà tout fait. En fait, il me semble évident. La question est presque trop facile. Il faudrait être idiot pour hésiter, même si cela m’apporte automatiquement la victoire. D’un certain coté nous gagnons tous les deux. Mais nous perdons aussi. Pourquoi ? Parce que c’est ce que nous désirons, et rien d’autre. Comment je le sais ? Elle a choisit. « Bon choix. » Ses doigts viennent se languir sur ma peau. Ses lèvres ne sont qu’à quelques millimètres des miennes. Elles se frôlent tandis que son souffle et sa voix viennent s’écraser contre mon visage. La pression est trop forte. Son odeur me fait littéralement pensé à la sienne. Je me sens bien et serin, mais à la fois terriblement triste et en colère. Une flopée innombrable de sentiments me submerge. Je pourrais l’a repousser de colère, comme je pourrais l’a câliner d’envie et de passion. Généralement c’est bien la première option qui nous unit. Seulement pas cette fois, cette fois c’est plus fort que moi. Peut-être que je me rend peu à peu compte qu’elle n’est pas comme elle. Non, Demi n’était pas une salope écervelée qui se laisse aventurer par n’importe quel abrutit. Et pourtant je ne cesse de penser à elle. En compagnie de Kassie, elle vit dans ma tête. Sa voix raisonne comme un souvenir, un manque. Voilà pourquoi je ne supporte pas cette fille. Sans le savoir, Kassie me fait souffrir. Je suis alors comme figé, incapable de bouger autre chose que mon regard qui vacille entre ses yeux, ses lèvres, sont corps. La peau de sa main ne cesse de prendre contact avec celle de mon dos et de mon torse. Je sourie niaisement, et satisfait. Sa main vient se glisser au bas de mon t-shirt, et elle m’emmène avec elle m’annonçant que les jeux ne sont pas encore faits, que suis bien loin de ma victoire. Tout ce que j’ai trouvé à faire c’est rire avec amusement. Je suis curieux de savoir comment elle compte me prouver une telle hypothèse ! Surtout que son sourire est aussi niais que le mien, ce qui efface toute crédibilité de sa part. De tout façon je peux faire ce que je veux, répondre à n’importe lequel de ses stratagèmes, jamais elle n’avouera sa défaite. Mademoiselle est trop fière pour perdre ! Mais d’un côté elle a raison, nous sommes tous deux gagnants et perdants dans cette histoire. Un véritable paradoxe qui nous caractérise à merveille.

Kassie me fait passer la porte de derrière et nous arrivons dans une ruelle fermé et complètement déserte. Quelques cartons sont étalés au sol et j’ai à peine le temps d’en voir plus que je me retrouve plaqué contre le mure. Je constate qu’elle ne perd pas de temps. Son regard ne me quitte pas tandis que mon sourire en coin ne quitte pas mes lèvres. Elle se rapproche. Je sens ses lèvres se poser contre mon cou. La tension monte de façon extrême. Je lutte pour penser à autre chose que ce qui me hante depuis le début. Cette femme, c’est Kassie; cette fille que je crois détester et que pourtant je convoite tant. Kassie Faye-Harris. Automatiquement, ma main vient se glisser sous l’avant de son t-shirt et caresse sa peau de bas en haut, du haut de sa ceinture au bas de sa poitrine. Son souffle dans son cou et la douceur de sa peau me donnent des palpitations. Cette fille me procure bien plus d’effet que n’importe quelle autre, et la raison est déjà toute trouvée. Sourcils froncés par tant d’approbation de ma part, mon autre main fait pression et glisse à l’opposé de l’autre, afin de vaciller sur la peau de son dos, tandis que je fais un tour sur moi-même. C’est elle qui est plaqué contre le mure dorénavant, et ce sont mes lèvres qui viennent se poser contre son cou. Ma main dans son dos glisse soudainement vers le bas, frôlant sans gêne l’une de ses fesses, puis attrapant fermement sa cuisse que je soulève. Le jeu ne fait que commencer, et il est pourtant déjà extrêmement intense. Je détache enfin mes baisés de son cou avant de remmener mes lèvres proches aux siennes et de déclarer dans un chuchotement taquin. « Est-ce que je vais enfin pouvoir te supporter sans avoir à subir le son d'ta voix ? » Je regarde ses lèvres, me retenant d’y plaquer les miennes. Je me retiens tout simplement parce que ce sont les mêmes. C’était impressionnant de loin, c’est flagrant de près.

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Est-ce qu’il était encore question de jeu? N’était-il pas plutôt terminé? N’avais-tu pas déclaré forfait, maintenant que tu avais accepté de succomber? Non, bien sûr que non! Le jeu, il est encore là. Le jeu ne sera jamais terminé tant et aussi longtemps que vous deux, vous vous rendiez compte que vous étiez les deux perdants. Perdants dans la victoire. Car c’était bien ce dont il était question. Vous seriez gagnant parce que vous auriez ce que vous désiriez ardemment, mais perdant car il vous faudrait avouer que vous ne pouviez résister à l’autre. Pourtant, c’était évident. Pourquoi te regarderait-il de cette façon, sinon? Pourquoi, toi, de ton côté, tu avais passé par-dessus tes propres habitudes si ce n’était qu’il t’avait toujours plu, malgré cette grande aversion pour son comportement envers toi? C’était si flagrant que c’était difficile à voir, difficile à avouer. Putain! Vous étiez si compliqués, alors que ça pourrait être si simple! Cependant, c’était probablement ce que tu aimais le plus entre vous : cette complexité, cette contradiction, ce paradoxe. Et c’est certainement ça qui t’a poussé à choisir cette option, à choisir de volontairement perdre pour lui laisser une once de victoire. Seulement, tu ne pouvais pas la lui laisser sans rien dire, sans ne passer aucun commentaire. Commentaire qui ne semble faire aucun effet à Ugo. Limite, il se fout un peu de ta gueule vu ton manque de crédibilité. Connard

Seulement, ça ne te décourage pas pour la suite. Sans gêne, tu l’amènes avec toi à l’arrière du pub. Sans gêne, tu le pousses contre le mur et pars à la découverte de son corps. Tes mains s’amusent sur sa peau, alors que tes lèvres s’amusent dans son cou. Tu as son odeur qui te monte à la tête, tu as les frissons qui marquent ta peau. C’est déjà bien intense alors que vous en êtes à rien du tout. Tu peux sentir ses propres mains qui prennent place contre ton corps. Ça te chamboule, ça t’embrouille. Ça fait augmenter la température entre vous et ça fait augmenter ton rythme cardiaque. En quelques secondes, il échange les positions et s’attaque à ton point faible. Le point de non-retour. Tu laisses échapper un soupire d’aise d’entre tes lèvres lors que les siennes font des ravages dans ton cou. Tes mains s’affolent et le tirent davantage vers toi. Tu ne peux pas croire que ça arrive pour vrai, que vous êtes réellement sur le point de craquer, de vous abandonner, de vous perdre ensemble. Ça te monte à la tête et pourtant, tu ne voudrais absolument pas arrêter maintenant que vous aviez commencé. Et les mots qu’il te dit t’arrache un rire. Pauvre con, ce qu’il peut être chiant! « C’est sûrement par manque d’expérience que tu dis ça, parce que si tu ne veux pas m’entendre parler, tu n’as qu’à les occuper, mes lèvres! » Remettre en doute ces capacités dans un tel moment? Certainement! Tu parles même sur le ton de la provocation et de l’arrogance. Allez Ugo, montre-moi de ce quoi tu es capable! « Puis, merde! Avec toi, je risque d’attendre une éternité! » Sans plus attendre, tu captura sa bouche de la tienne, enfin! Tu laisses tomber toute résistance, tout acharnement pour ne pas succomber. Tu découvres ses lèvres et cette sensation nouvelle entre vous. Parce que c’était inattendu de ressentir tout cela avec lui. Ce baiser qui était peut-être maladroit au départ, devient rapidement fougueux, intense, sans contrôle. Tes mains ont quitté son corps pour aller se perdre dans son cou et dans ses cheveux. C’est un mélange brutal entre vous. Tu mets fin au baiser et appuies ta tête contre le mur. Tu as ce sourire amusé sur les lèvres, alors que tu passes rapidement ta langue sur celles-ci. Tu as toujours ton regard qui défie le sien. « Je crois franchement que tu n’as plus besoin de ceci. » Ceci étant son t-shirt que tu lui retires rapidement. Tu vas, à nouveau, attaquer son cou, seulement, tu as agrandi le terrain de jeu. Tu peux descendre tes baisers à sa clavicule, au haut de son torse. L’effet, il est là bien présent. L’effet, il est fort contre sa peau. Tu ne peux même pas imaginer ce que va donner la suite, mais tu la veux cette suite. Tu le veux lui et tu ne peux pas lui faire mieux comprendre qu’à cet instant.

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Ma main soulève sa cuisse et rapproche Kassie toujours un peu plus de moi. Mes lèvres ne sont qu’à quelques centimètres de toucher les siennes, et pour la première fois de ma vie à ce stade ; j’ai peur. Tout simplement parce que c’est bien la première fois que la passion me gagne autant face à cette blonde, une passion bien trop excessive et qui a le dont de me mettre mal à l’aise. Je me sens engager une toute nouvelle voie, une route que nous n’avons encore jamais eu la chance de traverser ensemble. Mais d’un autre côté, je me sens coupable. J’ai peur de l’a vouloir seulement parce que j’ai le cœur brisé par une disparition destructrice à laquelle elle me fait penser. J’ai peur de seulement vouloir combler mon désespoir. Après tout, si c’est le cas, qu’est ce que j’en ai à faire ? Elle ne mérite pas mieux qu’apparaître comme une compensation à mes yeux, une distraction. Pourtant je le sais, je le ressens, c’est plus fort et beaucoup plus complexe que ça. C’est la seule conquête qui me rend comme ça, qui me rend aussi fragile sur tout; et je l’a déteste pour ça.

J’allais lui répondre. J’allais défendre mon honneur et ma réputation, quand elle captura mes lèvres. Son odeur si familière m’emprisonna tout le corps. Durant une petite seconde je me suis figé, profitant de ce nouveau sentiment encore inconnu jusqu’à maintenant. Puis le baisé devint plus extrême, plus passionnel, plus fusionnel. Nos souffles se mêlent, s’entrechoquent, se percutent. C’est incontrôlé. Je voudrais m’arrêter, mais je ne peux pas. Je suis dedans, je suis pris au piège. J’ai perdu. Elle a perdu. Le baisé perdure tandis que ma main libre valse sur chaque parcelle accessible de sa peau. Ses mains remontent jusqu’à ma nuque et mes cheveux; je suis pris d’un frisson détestable. On se détache après l’extrême, et son regard défi le mien. Je ne la quitte pas des yeux jusqu’à ce que mon t-shirt me soit retiré. Je sourie en coin suite à chacune de ses paroles provocatrices. J’aimerais qu’elle se taise, mais ça ne serait pas pareil si elle ne parlait pas. Kassie se lâche, elle s’ouvre à moi plus que je n’en serais jamais capable. Ses lèvres embrassent à nouveau ma peau sur un intervalle bien plus grand cette fois. Je baisse les yeux, mains sur ses hanches. Putain cette conasse me fait souffrir. Mais je dois arrêter de penser sans agir. J’ai assez trainé maintenant. Je l’a veux, et tant pis si ça m'débecte. A peine cette pensé me traverse l’esprit que je la plaque complètement dos au mur. Je me montre oppressant, je montre que je suis là et que je l’aurais jusqu’au bout, ici, entre le mur et moi. Un dernier regard de détermination dans le blanc de ses yeux, et je pose une main sur sa joue de bébé avant de rapprocher mon visage. Je dépose mes lèvres contre les siennes. Doux au départ, je finis par lui offrir la plus belle galoche de sa vie tandis que mon autre main descend le long de son ventre. En remontant dans le sens inverse, ma main emmène avec elle son t-shirt. La peau de son ventre s’ouvre sous mes yeux jusqu’à la limite de sous sa poitrine. Je maintiens le tissu en hauteur caressant son flanc. Au même moment mes lèvres en feux descendent le long de son cou et viennent embrasser son buste. Elles prennent une pause le temps que je retire enfin son t-shirt. Ceci fait, elles reprennent leur cour, descendant plus bas cette fois, et embrassant fiévreusement le creux de sa poitrine bombée. Ma main précédemment sur sa joue glisse le long de son corps jusqu’à se coincer dans la poche arrière de l’une de ses fesses que j’admire depuis trop longtemps. Je finis ma tournée par un chuchotement contre son cou. « Continue à me prouver que tu n’es pas de mauvaise compagnie, et je t’apprendrais à ne pas négliger mon expérience. » Je recule mon visage de son cou afin de pouvoir l’a regarder dans les yeux, mais surtout afin qu’elle le voit, ce sourire provocateur que j’ai au bord des lèvres. Mes yeux se baissent et admirent sa poitrine. La vue est trop belle pour ne pas être admiré. Puis surtout, je me sors toute pensé contradictoire de ma tête. Je fais tout pour laisser mon corps bouillant et passionnel prendre le dessus sur ma tête qui n’en fait qu’à elle-même. Cette salope me plait depuis toujours, je dois l’assumer putain. Et ce n’est pas juste parce qu’elle lui ressemble, ça c’est en partie une excuse; très certainement.

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Est-ce que tu ressens son hésitation? Est-ce que tu perçois explicitement qu’il ne fonce pas tête première, qui ne se laisse pas totalement aller? Oui, bien sûr! Mais que pouvais-tu faire? Tu n’es pas dans sa tête, tu ne peux sa savoir ce qu’il s’y trame, encore moins le comprendre. Ugo, cette putain d’énigme sur deux jambes. Plus compliqué qu’un bipolaire! Parce que c’était plus simple de seulement accepter qu’il ne pouvait pas te supporter et répondre à ses piques à deux balles. C’était plus simple de le provoquer et toujours pousser plus loin pour tenter de comprendre d’où venait cette haine pour toi. Oui, c’était plus simple, seulement, en ce moment, vous en êtes plus là. Ça avait évolué plus vite que tu ne l’aurais cru. Ça a évolué à un peu point que tu n’avais pas imaginé. Alors s’il hésite, c’est qu’il devait y avoir une raison. Une bonne raison. Raison que tu as décidément préféré ignorer. Tu l’as embrassé sans pensé à ce qu’il pouvait bien en penser. S’il t’a suivi jusque-là, c’est qu’il devait bien en avoir envie non? Alors bonne raison ou non pour l’hésitation, tu ne t’en préoccupes pas et tu l’attires avec toi dans cette chute vers la passion.

Et cette passion prend place entre vous deux alors que tu lui retires son haut. Cette passion se fait voir par les baisers éparpillés que tu laisses sur son corps. Elle se fait ressentir par ce nouveau baiser qui, cette fois-ci, est initié par Ugo. Pas toi, mais lui. Et c’est différent. Tellement mieux! Parce qu’il se donne plus, corps et âme. Parce qu’il t’a carrément poussé contre le mur et que l’intensité augmente à vue d’oeil. Et ce baiser, tu le lui rendras comme il se doit, avec autant de passion que lui. Tu as le souffle coupé par ce baiser, des frissons qui parcourent ton corps. Tu as ton sang dans tes veines qui bouilles rendant tes gestes plus brusque. Tu l’attires toujours un peu plus vers toi, si c’était encore possible. Tu peux sentir la chaleur de sa peau dénudée contre la tienne. Il est là, il est totalement là, tu ne peux pas en douter. Il est contre toi et il t’envahie l’esprit. Mais merde! C’est Ugo, bon sang! Pas n’importe qui dont tu as envie de te faire dans la ruelle, non! C’est le mec qui, en deux secondes, te donne autant de pulsions meurtrières que d’élans passionnels. Ah! Il t’énerve! Même là, pendant que tu l’embrasses, alors que tu veux toujours un peu plus de lui, il t’énerve! Pendant cet échange, tu peux sentir ses mains joués avec ton haut. Tu peux ressentir les tracés de ses doigts sur ta peau. Tu reprends difficilement ta respiration lorsqu’il détache ses lèvres des tiennes. Il parcoure ton cou à nouveau, descendant vers ta poitrine. Tes mains sont toujours sur le haut de son corps, tes doigts s’immisçant à travers ses cheveux, s’y accrochant. Tu es maintenant au même stade que lui, tu n’as plus de t-shirt. Tu laisses échapper un rire lorsque sa main se retrouve sur ta fesse. Tu repenses à son « joli petit cul » et c’est ça qui te fait marrer. « Je te l’avais dit que je te laisserais touché si tu étais gentil, vas-y profites-en! » C’est tellement plus excitant en ajoutant ce genre de répliques. Réplique qui démontre clairement que tu n’as pas oublié que malgré ce qu’il va se passer entre vous, vous restez Ugo et Kassie et qu’avant toutes choses, c’est votre bipolarité relationnelle qui vous lie. Il fait la même chose que toi avec sa dernière phrase dite contre ton cou. C’est illogique comment ces quelques mots te donnent envie de le planter là en même temps que de te donner encore plus envie de lui. « Mes preuves sont déjà faites Ugo, sinon tu ne serais pas encore là, tu ne m’aurais pas suivi jusqu’ici. Tu ne serais pas là à désirer ardemment que je continue à m’offrir à toi! » Ouais, bien, il va vouloir te fermer la gueule c’est sûr! Ou bien, il va seulement partir mais comme ça tu ne le veux pas, tu vas devoir encore contredire tes paroles. Tu le repousses un peu de toi, tu te donnes de l’espace pour te décoller du mur. Une de tes mains ira se faufiler jusqu’à ton dos pour défaire l’attache de ton soutien-gorge que tu retires sous le regard d’Ugo. Soutien-gorge que tu iras placé dans la poche arrière de son jeans à lui pour ne pas le mettre au sol. Puis, tu te fous d’être complètement nue puisque personne ne pourrait vous voir. Tu ancres ton regard dans celui de l’Espagnol le ramenant vers toi. Tu prends ses poignets afin de déposer toi-même ses mains sur ton corps. « Il ne manque que ton expérience que j’ai impatiemment hâte de découvrir! » murmures-tu avant de réunir, à nouveau, tes lèvres avec les siennes.

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La paume de ma main recouvre le tissu de la poche de sa fesse. En effet, elle avait annoncer qu’elle me laisserait le plaisir de toucher si je me montrais gentil. Mais depuis le début de ce moment de compagnie agréable qu’elle avait promis de me prouver, je n’ai pas été des plus gentil. En fait je ne l’ai pas été du tout. Mais cette victoire qu’on s’est offert l’un à l’autre est le geste de générosité dont elle avait besoin, le seul acte intense et de sens qu’on ait trouvé à se donner pour compenser nos incessantes prises de têtes. Aujourd’hui est un jour différent des autres. C’est un jour où nous avons finalement finit par craquer une pulsion terriblement instable. Et ça se voit, ça se sent; par mes lèvres contre les siennes, par mes mains contre sa peau. Puis, la suite de ses mots suit exactement mes pensés. Pour une fois, nous sommes sur la même longueur d’onde, et cette idée m’exaspère. Nous sommes le Ying et le Yang, nous n’avons pas le droit d’être en accord. Nos respirations courtes s’appellent pour s’enlacer l’une avec l’autre jusqu’à ce que l’une ne soit plus capable de s’échapper du moindre souffle. Un appel très vite mit en pause quand elle me pousse un peu afin de laisser à ses bras suffisamment de place pour retirer son soutien gorge. Ca tombe bien, je trouvais qu’il était de trop ! Un frisson me traverse le corps quand sa main glisse dans la poche de mon pantalon pour y déposer la bande de dentelle en question. Je suis légèrement plus loin et je peux maintenant admirer son corps dénudé sous toutes les coutures. J’ai un air sérieux, l’air du mec qui va passer à l’action avec une fille qui lui fait beaucoup plus d’effet qu’elle ne devrait. Mais le panorama fut de courte durée. Kassie m’attrape les poignets et dépose mes mains sur son corps avant de plaquer ses lèvres contre les miennes. Bizarrement, leur goût sucré m’avait manqué. Elle me veut, elle ne peut plus nier maintenant. En fait, elle ne cherche même pas à nier, au contraire. Elle l’a dit elle même, elle s’offre à moi; à moi de jouer, à moi d’en profiter. Elle n’a pas peur. Malgré la relation paradoxale qui nous unit, elle n’a pas peur. Qu’est ce qu’on est finalement alors ? C’est trop bizarre, on est trop bizarre, on doit bien être quelque chose tous les deux. Peut-être bien véritablement le lion et la lionne fusionné à l'idée d'opposition de l'eau et le feu.

Mes mains posées de son gré sur son corps remontent le long de sa peau tandis que je me colle de nouveau à elle. La passion est bien présente, et plus aucune gêne ne vient s’initier entre elle et moi. Toujours scellé avec elle, je caresse le bas de son dos tandis que mon autre main caresse l’un de ses seins. Il ne me tient même pas dans la main tellement il est gros. Sous la passion et les baisers fiévreux, je rapproche son bassin du mien sachant pertinemment que mon asperge ne demande qu’à prendre l’air. Mes membres s’agitent; chacun de mes membres. Mes bras la prennent plus fougueusement encore, de même que mes lèvres. Mon cœur bat à cent à l’heure, les partielles de ma peau ne demande rien d’autre que d’être collé aux siennes jusqu’à laisser s’échapper la sueur de nos corps. Je l’a veut, et je vais l’avoir. Tout ceci se ressent dans chacune de mes actions passionnelles et accélérés. Après les caresses et les touchés terriblement agréables pour ma petite personne, je laisse les doigts d’une main défaire les boutons de son short tandis que mes lèvres se baladent toujours sur elle. J’ai l’excitation presque à son comble, l’adrénaline me gagne et j’ai le poireau qui frétille. Mes doigts attrapent les coutures de son short que je fais glisser le long de ses cuisses en caressant subtilement son cul aussi bombé que sa paire de seins. Mes yeux ravis se posent sur un petit dessin, non loin de sa partie génitale. En fait c’est un tatouage en forme de licorne. Mon souffle court et accéléré commence à se noyer dans un rire mauvais et terriblement amusé. En fait, je me retiens de mourir littéralement de rire. Mais c’est trop dur. Mon rire impuissant s’étend peu à peu avec enthousiasme dans les airs tandis que je ne la lâche pas. Au contraire je me colle d’autant plus à elle. La bonne moitié de mon rire s’est d’ailleurs retrouvé au creux de son oreille. « Et toi p’tite conne t’as osé te moquer d’mon tatouage ? » Dis-je en ramenant mon visage très proche face au sien. Je veux qu’elle voit ce sourire amusé sur mes lèvres, ce sourire satisfait et provocateur. Cette petite licorne grasse dégueulasse qui orne sa peau est la plus belle de toutes les vengeances. Et le pire c’est que ce n’est même pas moi qui en suis l’auteur. Mais malgré ce pauvre incident, je refuse que le serpent ne rentre pas à la maison aujourd’hui. En fait, je refuse qu’elle m’échappe maintenant que nous en sommes arrivés là, alors je caresse sa fesse avant de soulever sa cuisse, à nouveau. J’essaie de reprendre où nous en étions avant que ce fou rire ne perce d’entre mes lèvres. Je fais comme si rien ne s’était passé, mais je n’en pense pas moins, ce tatouage est gravé dans ma mémoire. Une anecdote que je me ferais un plaisir de réutiliser à ma guise. D'ailleurs comment se fait-il que je n'en ai jamais entendu parler de cet oeuvre d'art ? Mon sourire amusé n’a toujours pas quitté mes lèvres tandis que j’attrape sa nuque et glisse ma langue dans sa bouche. Je pourrais l’a dévorer tellement elle m’excite, comme je pourrais l’a dévorer tellement elle m'énerve, tellement elle me met dans tous mes états. Avec elle, je peux passer par tous les états inimaginables. La preuve est là.

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On se souvient que tout cela avait commencé d’une provocation stupide entre vous? On se souvient que tu ne devais que lui prouver que tu étais de bonne compagnie et que tu avais transformé cela en jeu? On s’en souvient. Seulement, vous deux, vous sembliez l’avoir oublié. Maintenant que vous étiez accroché l’un à l’autre, contre se mur, qui avait réellement gagné et qui avait réellement perdu? C’était impossible à dire. Certes, vous continuez à vous lancer ces répliques, ces piques, pour provoquer l’autre. Seulement, vous vous abandonnez totalement. Vous acceptez de vous offrir. Oui, parce qu’il n’y a pas que toi. Lui aussi, il se donne. Tu peux autant profiter de son corps, comme il profite du tiens. Peut-être jusqu’à maintenant tu as été plus entreprenante que lui. Tu t’es toi-même dénudée, tu as toi-même pris ses mains pour qu’ils les posent sur toi. Peut-être, mais là, il se colle, il s’accroche à toi, il te veut. Tu peux pleinement sentir ce qu’il ressent, alors que vos bassins se frôlent. Ah! Il ne peut plus nier, le Ugo. L’effet que tu as sur lui, il est là, bien présent, bien contre toi. Ça te fait sourire. À travers vos baisers, tu souris pleinement. C’est une victoire, en soi.

La passion vous gagne et ne vous quitte plus. Vos gestes sont plus pressés. La hâte et l’empressement de mener tout cela à terme guident chacun de vos mouvements. Tu peux sentir ses mains détacher ton short. Tu peux sentir ce dernier glisser le long de tes jambes, terminant à tes pieds. L’ambiance est chaude, électrique. La tension qu’il y avait entre vous a totalement explosé. Sauf que… Sauf que l’Espagnol a vu ce que tu oubliais si souvent : ton tatouage. Ah, la merde! Putain de licorne! Bien sûr qu’il devait rigoler, sinon ça ne serait pas digne de lui. Ah! Ton orgueil en prend un coup. Tu as envie de le frapper, de le ruer de coups pour qu’il arrête de se marrer. Seulement, il se penche sur toi et tu as son rire qui chatouille ton cou. Ton corps en est parcouru de frissons. Ça te coupe dans ton élan de haine, ça te fait légèrement sourire. « Toi, c’est l’emplacement qui est totalement ridicule! Franchement, qui se tatoue encore les fesses? » Alors qu’il est encore contre toi, tu laisses échapper ce petit rictus, toi aussi. Non, mais le rire c’est contagieux, c’est tout, quoi! Ce n’est certainement pas parce que vous êtes en train de bien vous amuser ensemble. Non, certainement pas! À d’autre, oui! Seulement, là, il te gonfle à ne plus s’arrêter, on a compris qu’il était ridicule le tatouage, tu le sais depuis le moment où tu l’as vu, sur ta peau, le lendemain de cette soirée trop arrosée! Il se recule alors, ramenant son visage face au tiens, vos regards connectés. « Oh, mais arrête avec ce sourire niais. C’est bon, si t’aimes mieux te marrer, je remets mes vêtements et je m’en trouve un autre débile! » Nah, nah, nah! Tu restes là et tu le laisses reprendre son sérieux! Tu le laisses reprendre possessions de ta bouche et tu te laisses, par la même occasion, enivrer de lui. Tout ça, tout ce qu’il se passe entre vous, ça te monte à la tête. Sa main qui passe sur ta fesse pour soulever ta cuisse, son odeur, le goût de ses lèvres, ça te met dans tous tes états. Sans pudeur, tu es presque totalement nue devant lui, contre lui. Ta jambe soulevée de terre s’accroche à sa taille, l’approchant de toi. Tes mains parcourent ses bras, son dos. Tu mets finalement fin au baiser. Tu reprends difficilement ton souffle. C’est bon, il ne rigole plus du tout là. Il a enfin réussit à se la fermer aussi. C’est à ton tour d’avoir ce sourire provocateur et amusé sur tes lèvres. Tu déposes ta jambe au sol, tu le repousses quelque peu, main posé sur son torse. Tu suis alors la ligne de son corps avec ton index, jusqu’à descendre à sa boucle de ceinture. Boucle de ceinture qui ne résistera pas longtemps à tes doigts agiles. Tu remontes tes yeux aux siens, les ancrant pour ne plus les quitter. Tu défais aussi le bouton de son jeans. Tes deux mains iront de chaque côté de son pantalon, commençant à le faire descendre. Tu ne quittes pas ses yeux des siens. Tu suis le mouvement, descendant avec le pantalon, jusqu’à ses pieds. Tu remontes quelque peu, déposant tes lèvres juste au-dessus de l’élastique de son boxer. Tu montes une suite de baisers tout le long de son torse, jusqu’à son cou, allant à sa mâchoire, pour terminer ta course sur ses lèvres. On oublie le tatouage et tout ce qui vous entoure, ce n’est que vous deux et cette étrange connexion. Vous deux qui allait bientôt ne faire plus qu’un.

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Plus aucun d’entre nous n’a le dernier mot. Même dans une situation comme celle-ci; une situation où l’ont met à vif la chaleur de nos corps, on lutte malgré tout pour avoir ses dernières minuscules lettres. Le combat contre Kassie est éternel, il ne pourra jamais se calmer; la nature l’a ainsi décidée. Et de toute façon, je n’en ressens pas l’envie. J’aime l’effet que ça me procure de rire d’elle. J’aime ressentir des picotements à chaque mot de haine sortis de nos bouches. J’aime ses frissons qui me dévorent la peau lorsqu’elle est si proche de moi. J’aime son corps entre le mien et le mure; chose que j’ai toujours voulu, mais que je n’ai jamais eu le cran d’assumer. Cette fois j’y suis, tant pis pour ma fierté. Je n’ai qu’à essayer de faire l’impasse sur son tatouage ridicule ainsi que sur sa remarque au sujet du mien; et alors tout devrait bien se passer. Quoiqu’on ne sait jamais. Kassie est peut-être équivalente à une Menthe religieuse, un insecte sans pitié qui dévore son mari juste après l’accouplement. Je ne sais même pas ce qu’elle est, et qui je suis, elle ne le sait pas non plus. On rentre en terrain dangereux.


Elle a beau ouvrir sa grande gueule, bien sure qu’elle n’aurait jamais remis ses vêtements. En vérité, je sens que ça l’a booste d’autant plus de me voir aussi moqueur, à croire qu’elle aime être torturé. Moi, ce qui me torture en ce moment, c’est ce malin plaisir que je ressens à simplement l’embrasser, à simplement pouvoir l’a toucher. Son emprise si spéciale, je l’a nierais jusqu’au bout. La passion nous gagne et tous les moyens sont bons pour nous rapprocher plus qu’on ne l’est déjà. Sa jambe accrochée à ma taille rapproche mon bassin du sien. On peut facilement sentir que j’ai le froc en fête, c’est l’heure des artifices ! Alors ses doigts qui viennent descendre mon pantalon et frôler ma taille, ses lèvres qui remontent le long de mon corps, ça ne fait qu’ajouter à mon épanouissement. Ses lèvres se raccrochent aux miennes, moi qui généralement n’offre pas tant de passion dans des baisés. Généralement, le reste du corps me suffit amplement; mais là mon souffle s’accélère, ma respiration s’intensifie et mes gestes deviennent de plus en plus rapides. Je crois que c’est toute cette crainte, tout ce jeu tendu, toute cette haine beaucoup trop passionnelle qui rend la chose si spéciale. Je fronce les sourcils tout en refermant une nouvelle fois mes lèvres sur les siennes. Mes mains ne cessent de se balader sur son corps parfaits, quand enfin je me décide à envoyer valser la dernière couche de tissue présente sur ses petites fesses. Le morceau de dentelle en question vient se glisser le long de ses jambes. Je me colle à elle, l’enroule des mes bras; cherche la chaleur de son corps pour lutter contre le vent de l’océan légèrement coupé par la ruelle. Après caresses et préliminaires suffisants, j’arrive clairement à mon apogée. Je baisse moi-même mon caleçon afin de faire l’amour à cette petite conne. Le souffle accéléré par les baisés rapides, je caresses ses fesses avant de soulever ses cuisses. Je l’a maintient en hauteur, mes lèvres baisant son torse. Sans plus attendre je me frée un chemin jusqu’à elle et l’a pénètre. Mon souffle s’écrase contre son cou tandis que mes gestes sont lents et délicats. C’est juste histoire de briser la glace ! Puis mes vas et viens deviennent de plus en plus rapides, m’apportant une vague de frissons et de plaisir dans tout le corps. Mes mains la maintiennent à ma disposition tandis qu’entre chaque expiration je prends possession de la peau de son cou. Je garde le rythme durant plusieurs longues secondes, des secondes durant lesquels j’ai tendance à oublier quelle femme se noie dans mes bras. J’en ai vu d’autres certes, mais chaque personne est unique, et celle-ci, est spéciale. Alors mon bassin contre le sien, sa peau contre ma peau, tout ceci m’apporte jouissance, passion et pourtant une même haine cumulative. Nous sommes restés les mêmes; nous sommes juste attachés aux mêmes vibrations, nos souffles et jouissements s’harmonisent jusqu’au point finale, jusqu’à ce que l’orgasme annonce le début de la fin. C’est alors que je me détache d’elle, après avoir fait cette chose qu’on se mettait simultanément au défi de faire. Un dernier baisé lent et sensuelle contre ses lèvres, ma main montante le long de son dos, et je l’a laisse reposer ses pieds à terre. Je recule mon visage afin de situer mon regard face au sien. Je lâche sa taille et pose la paume de ma main à plat contre le mure, juste à côté de son visage. Sans même un sourire, juste un air sérieux, satisfait et perçant au visage, je déclare le souffle court. « Le jeu est terminée. » Je baisse les yeux et fixe ses lèvres, puis le reste de son corps visible malgré la proximité. Et c’est là que j’esquisse enfin un sourire, un sourire provocateur comme je les aime. Je prends mon temps pour remonter mon caleçon avant de me reculer d’un pas, sourire en coin, les yeux braqués sur ce corps qui m’appartenait il y a encore quelques secondes. Je me penche pour ramasser mon pantalon, mais surtout pour prendre son soutien-gorge encore présent dans l'arrière poche de celui-ci. Je le lui tend alors. « Un dernier mot avant que ton statut de bonne compagnie ne s'achève, et que je retourne siroter une bière offerte par une pénible blonde à poil dans une ruelle ? » Mon doigt frôle le bas de son ventre dans un mouvement doux mais rapide. La provocation est toujours là, elle ne nous quittera pas.

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