Put on your war paint
Se lever un Dimanche matin, un lendemain de soirée;faire la grâce matinée jusqu’à onze heure, boire un café qui vous soulage la gorge et vous réveille l’esprit; ça c’est le pied. Que demander de plus au peuple ? Et en plus c’est jour de congé, jour de glandouille. Il n’y a ni situation trop extrême, ni client à l’horizon. Mais il est un détail que j’ai tendance à oublier, et qu’il est malheureusement très difficile d’ignorer : Isis, ma colocataire. Enfin, qu’est-ce que je dis ? Je l’adore évidemment, c’est une fille super; mais putain qu’est-ce qu’elle est chiante ! Et moi, jusqu’au bout des doigts, je ressens ce même besoin de lui rendre la pareil. On dirait de la haine à première vue, mais je vous assure qu’on est bien loin de se détester !
J’enfile un simple jogging avant de sortir de ma chambre. Le torse découvert, je file vers la cuisine me servir un grand verre de jus d’orange, qui suivra bien sûr, d’un bon café. Tout à coup, un son bien distinct arrive à mes oreilles. Juliet joue du Piano, un penchant dont elle a prit l'habitude, notamment lorsque je roupille ou lorsque j'ai besoin de tranquillité. La sale gosse. C’est en partant volontairement à la recherche de ma colocataire, que je la retrouve dans son petit coin personnel, concentrée sur son piano. Pourtant je m’approche d’elle, un sourire au bord des lèvres. J’arrive par derrière, et comme le plus grand des chieurs, je plaque une main dans ses cheveux que je me fais un plaisir d’ébouriffer. « Tu joue vraiment mal. » Dis-je alors d'un amusement si sérieux, qu'il en est devenu désagréable. En quelques secondes, la blonde se retrouve munit d’une merveilleuse chevelure de lionne. Evidemment, je ne pense pas un seul mot de ce que je viens de dire. Pour être honnête, je n’ai même pas daigné écouter le moindre son joué par ses petit doigt délicats. Mais c’est ça qui est drôle. Je retire ma main de ses cheveux doux à présent mêlés avant de me mettre à rire, un rire étouffé par le verre de jus d’orange que je porte à mes lèvres.
J’enfile un simple jogging avant de sortir de ma chambre. Le torse découvert, je file vers la cuisine me servir un grand verre de jus d’orange, qui suivra bien sûr, d’un bon café. Tout à coup, un son bien distinct arrive à mes oreilles. Juliet joue du Piano, un penchant dont elle a prit l'habitude, notamment lorsque je roupille ou lorsque j'ai besoin de tranquillité. La sale gosse. C’est en partant volontairement à la recherche de ma colocataire, que je la retrouve dans son petit coin personnel, concentrée sur son piano. Pourtant je m’approche d’elle, un sourire au bord des lèvres. J’arrive par derrière, et comme le plus grand des chieurs, je plaque une main dans ses cheveux que je me fais un plaisir d’ébouriffer. « Tu joue vraiment mal. » Dis-je alors d'un amusement si sérieux, qu'il en est devenu désagréable. En quelques secondes, la blonde se retrouve munit d’une merveilleuse chevelure de lionne. Evidemment, je ne pense pas un seul mot de ce que je viens de dire. Pour être honnête, je n’ai même pas daigné écouter le moindre son joué par ses petit doigt délicats. Mais c’est ça qui est drôle. Je retire ma main de ses cheveux doux à présent mêlés avant de me mettre à rire, un rire étouffé par le verre de jus d’orange que je porte à mes lèvres.
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